Lettre manuscrite

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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[Adressée à : "Mon honorable cousin Forven Bérano, puisse ceci t’être délivré avec hâte"]

Forven,

Je ne peux pas être d’accord. Je suis un marchand et je ne sais pas manier les armes. Tu es un noble et dans ta jeunesse, tu as fait tes preuves aux entraînements et aux tournois ; bien qu’en vérité tu n’aies jamais combattu en duel et que tu sois un piètre menteur. Nul ne peut douter de l’aptitude et de l’enthousiasme de Hloggar le Sanguinaire pour le grabuge, mais ce n’est pas un homme subtil, une bagarre ou un champ de bataille lui va mieux que le rôle d’assassin.

Et nous ne pouvons pas faire confiance à la Confrérie noire. Helseth les possède. Ils promettent la discrétion, mais leurs promesses ne valent rien.

Nous allons sûrement devoir faire appel à la Morag Tong. Je suis d’accord avec toi. Ils vont sans doute refuser. Mais au moins, on peut leur faire confiance pour rester discrets.

Si jamais, au bout du compte, nous sommes obligés de faire un choix entre nous, alors j’ai peur qu’il ne faille que ce soit toi. Et nous allons devoir nous torturer les méninges pour trouver un prétexte plausible qui te mettra en présence d’Helseth.

Je suis déçu, mais pas surpris, face à l’absence de protestations publiques contre le meurtre d’Athyn. Le sentiment populaire semble être d’éviter tout risque personnel et d’accepter la présence d’Helseth. C’est imprévoyant, mais compréhensible. Cela dit, j’ai remarqué que l’auteur de LA VOIX DU PEUPLE est intelligent, éloquent et rallié à notre cause. Il pourrait faire changer les opinions. Nous devrions essayer d’identifier cet homme et l’inclure à nos délibérations.

ton loyal serviteur,

Bédal Alen