Les Derniers Mots De Sotha Sil

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
Révision datée du 27 mai 2013 à 19:58 par Laqpal (discussion | contributions) (Page créée avec « {{texte obscur|titre=Les Derniers Mots de Sotha Sil...|auteur=Développeur inconnu|date=2002|commentaire=Peu avant la sortie de Tribunal un... »)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à : navigation, rechercher

Modèle:Texte obscur


Sotha Sil :

Mon ami Divayth, cela fait trop longtemps que nous n’avons parlé. Et j’ai récemment, trop souvent vu tes paroles.

Tu joues avec les esprits de ces mortels curieux. Les Outils de Kagrénac en ta possession ? Je ne le crois pas. Si tu les avais, je craindrais pour ta vie. Fyr, comme tu le sais si bien, ce ne sont pas des outils pour les mortels.

Et qu’en est-il de ta propre mortalité ? Où est-ce que cela en est ? Si tu vie aussi longtemps qu’un dieu, en sera tu moins sublime ? Quand bien même, je pense qu’il y a toujours eu quelque chose de différent en toi. Je crois que tu trouves une certaine joie, si fine soit-elle, dans ta propre mortalité. C’est une grande qualité que tu possèdes.

Ta curiosité est problématique. Tu es un sorcier, un érudit, un archéologue des passées et des futurs. Cela je comprends, puisque j’ai été toutes ces choses et même plus.

La curiosité est une chose étrange. C’est un chemin lumineux entouré de ronces.

Tu es une intéressante créature, mon ami, et je ne te souhaite aucun mal. Je t’implore de prendre le plus grand soin avec tes paroles. L’esprit mortel est facilement brisé par le divin.

Pour l’instant, je te regarderais jouer à te divertir toi-même avec toutes ces discussions sur les Pourquoi et les Où. Ce sont les questions les plus faciles à répondre, mais elles seront les moins satisfaisantes.


Sotha Sil :

Des Voleurs ? Un concept intéressant. Avons-nous volé l’essence divine, ou nous a-t-elle été donnée librement, cela afin de guider notre peuple dans un nouvel Age ?

Certains nous appellent voleur quand par leurs mots et leur pacte, les Princes de l’Oblivion était lié à une trêve. Ils étaient beaucoup moins quand Mehrunes Dagon brisa sa trêve et fut lui-même brisé sur le sol de Longsanglot.

Les évènements du Mont Ecarlate se sont passés il y a si longtemps. Qu’est-ce que le Seigneur Vivec t’a raconté de ce jour ? L’a-t-il entouré de de devinette, te donnant une liste des passées plausibles qui tous renvoient au même inévitable futur ? Telle est sa façon de raconter

Ne le maudis pas pour ça, c’est ainsi qu’il est, un puzzle. Une opposition à son propre point de vue.

Je pense qu’Almalexia raconterais cette histoire mieux. Elle de nous tous étais la plus proche de Nérévar. Son amante. Son Conseiller. Son général. Et elle de nous tous porte le manteau de Dieu le plus fièrement. Elle a marché avec le peuple et a appris leurs fragilités. Les a même très bien appris.

Homme de dieu ? Dieux des hommes ? Duquel faudrait-il que tu ait le plus peur ?

Tu te demandes où les Dwemers sont partis ? Peut-être serais-ce mieux de demander pourquoi il en reste un. Même les Dieux détestent l’absolu, qui est quelque chose de plus grand qu’eux même.

Malgré cela je regarde.


Sotha Sil :

Je regarde. Je me demande. Je construis. Je démolis.

Suis-je un Dieu ? Aussi sur qu’il y en a.

Les Dieux ont tout le temps pour jauger leurs mots. Les mortels n’ont seulement que des instants pour les entendre.

Le Seigneur Vivec est-il un Dieu ? Aussi sur que j’en suis un.

Vivec est un poète. Ne croit aucun mots d’un poète, il est né pour séduire. Encore que pour que la poésie saisisse le cœur, elle se doit de sonner les carillons de la vérité.

Dame Almalexia est-elle un Dieu ? Aussi sur que Lord Vivec l’est.

Almalexia est un soldat. Prend garde au soldat, son acier peut ne pas distinguer l’allié de l’ennemi. Mais dans une main sure, une épée aiguisée peut bâtir l’histoire.

Je te le demande encore, suis-je un Dieu ?

Je suis Sotha Sil. Je suis un Mage. Je suis l’Horloger.

Tu me demande où se trouve ma Cité Mécanique ? Certains disent qu’elle serait submergée dans les Marais Noir. D’autres proclament qu’elle est profondément enfuit sous Coeurébène. J’ai même entendu dire que ma cité est contenue dans une jarre accroché au manteau de Dame Almalexia. Ces rumeurs sont toutes vraies, et toutes fausses. Ma cité est là où je vis, et je vis dans ma cité. Sa location n’est pas importante puisque je suis son seul citoyen.

Les Dwemers étaient les Dwemers. Les Chimers étaient les Chimers. Maintenant les Dwermers ont disparus et les Chimers ont changés. Les mots d’Azura sont lourd de sens, mais nous avons déjà discuté des paroles des Dieux, n’est-ce pas ?

Je suis Sotha Sil.

Je regarde. Je me demande. Je construis. Je démolis.


Divayth Fir le Psijic :

Juste une note sur Sotha Sil mes amis…

Ce n’était pas la cité entière. Non, il s’agissait en fait du hall principal de maitre Sil, à l’intérieur de la cité de la folie Mécanique. De la même façon qu’à l’extérieur des portes nacré de Longsanglot, il existe un espace où s’entassent de nombreuses maisons, citoyens et vendeurs. Sotha Sil est assez étendue et les maisons beaucoup plus inhabitées. Je les ai vus en personne et ma foi, qu’elle vu ! Dans le cas du Nérévarine, j’ai entendu un conte selon lequel il aurait été téléporté par Almalexia, la machine qui a soulevé la porte derrière lui a cédée. Quel que soit la raison (Est-ce Almalexia ou bien Sotha Sil qui l’ont fait ?), cela l’a empêché de s’aventurer plus loin. L’endroit où le Nérévarine se trouvait, était en fait l’atelier/le repère de Sotha Sil.

Repensez-y de nouveau… si cela était une cité, qui aurait pu possiblement appeler cet endroit maison ? Des inventions plus intelligentes ? Je n’ose le dire, même si je l’ait vu avec mes propres yeux. Peut-être qu’un jour la location sera connu de tous, et les visiteurs pourront s’aventurer dans la totalité de la Cité Mécanique.


Divayth Fyr le Psijic :

J’ai découvert un sens de la vision. C’ETAIS effectivement une vision. Durant mes voyages dans les autres plans, je médite pour passer le temps. Voyager entre les plans est assez désorientant et pour celui qui n’y est pas habitué, la sensation de sentir son corps se déchiré peut apparaitre. La méditation atténue cette sensation. Mon voyage de retour prenait plus longtemps que d’habitude. La « vision », ou ce qui pouvait aussi être considéré comme un cauchemar, m’éloigna de mon chemin original. J’étais incapable d’abandonner la vision qui me tenait captif physiquement et mentalement. Une fois que la vision eu cessé, je me suis retrouvé allongé totalement nu, dans une sorte de frottoir à l’extérieur de Tel Vos. Affaiblis par cette incident extraordinaire, j’ai été tout de même été capable de trouver mon chemin jusqu’à ma forteresse où j’ai dormis pendant plusieurs jours afin de regagner mes forces.

En parlant avec le conseil sur ce sujet, ils ont cru à une simple vision. Pas celle qui contient une signification, mais plutôt à un simple signe que je m’étais trop forcé sur le sujet des Dwemers. C’est fort probable, même si elle semble un petit peu plus pour moi. Le repos est effectivement ce qui me manque, et je crois que je devrais arrêter de faire de telles voyages pour quelque temps et me concentrer à regagner la forme.

Yagrum quant à lui semble avoir regagné la forme des temps passés. Il montre encore des signes de corpus mais sa mémoire semble revenir lentement au fur et à mesure. Il passe maintenant beaucoup de temps tout seul et souhaite le rester. Je suis sûr que des fragments de son passé, revenant fraichement vers lui, lui donne beaucoup à réfléchir. Je me sens mal pour mon vieil ami. Je souhaiterais pouvoir faire plus pour lui. Une mauvaise humeur semble s’installer et j’ai donné pour instruction à mes sœur-épouse de le laissé tranquille. En dans son temps, il viendra à comprendre quel destinée il est amené à accomplir.

Et une chose intéressante… Yagrum est venu me confronter après mon arrivé du conseil et a voulu savoir si j’avais encore en ma possession les Outils. Après avoir entendu que l’Hortator les avaient pris et emportés avec lui, Yagrum semblais assez mécontent. Qu’est ce qui traverse l’esprit de mon vieil ami ? Je devrais garder un œil sur lui, je me sens inquiet pour son bien-être.


Divayth Fyr le Psijic :

Alas !

« Telle est la vérité du Sermon Zéro, qui n’est pas un »

De ces « prétendus » messages cachées, que je félicite, voyez-vous la vérité ? La première ligne, à travers l’étrange et fausse conception, amène le premier venu à croire que le message peut aussi être prit comme un faux mot. La plus grande partie de ce que je connais déjà est assez alarmant, et la vérité est juste sur le coin de l’œil de tous les citoyens de l’Empire. J’espère, pour le bien de Tamriel, que nous somme préparé à toutes révélations imminentes ou à toutes vérités très attendues. Si le « fantôme » est effectivement parmi nous, les temps dont nous allons être témoins vont peut-être être un choquants.


Divayth Fyr le Psijic :

En arrivant à ma tour, j’ai été informé par une de mes femmes que une merveilleuse discussion eu lieu à mon insu. Supportez-moi, car mon voyage m’a laissé las.

Et c’est ainsi que le débat sur le Tribunal, les Outils de Kagrénac et les Dwemers s’est réveillé une fois encore. Mes très chers érudits et érudits en devenir, les faits sont là ! Ne pouvez-vous pas voir la vérité ? Permettez-moi de de vous faire revenir un peu à vos sens en apportant un peu de lumière sur ce sujet.

Le Tribunal… Vivec, Almalexia, et Sotha Sil sont les Dieux héros, ne le sont-ils pas ? Créé eux même en utilisant les Outils de Kagrénac (dont je discuterais un peu plus tard) sur le cœur de Lorkhan. Azura les a punis, et leurs peuples (hé oui, moi inclus !). La peau sombre et les ardents yeux n’en sont qu’un visible et alarmant rappel. Est-ce une coïncidence que ce changement soit arrivé en même temps que la rupture du serment ? Azura est effectivement coupable. Azura aurait-elle prit de telles mesures si le « Tribunal » n’avait pas accomplis cet acte ? C’est une question que seule la Déesse peut répondre, mais je ne le crois pas. Personne ne sait quels sont les plans que Kagrénac destinait au Cœur. Peut-être que ces plans sont la raison de la ruine des Dwemers. Que ce soit planifié ou par une quelconque erreur, ceci n’a qu’un petit intérêt pour le Tribunal. Ils ont eu ce qu’ils sont venu chercher : de pouvoir de marcher dans « L’ombre des Dieux », d’envoyer leur général guerroyer et retrouver leurs prix. Nérévar étais, selon ma propre opinion, sacrifiable pour eux. Nérévar connaitrait la vérité derrière les Dwemers et la soif du pouvoir du Tribunal. Cela m’amène à un autre sujet… Est-ce que Nérévar mourut effectivement de ses blessures, ou est-ce que le Tribunal peureux de son savoir et de le voir dévoiler la vérité, le réduit au silence, à jamais ? Seul le Tribunal et Azura le savent. Azura aimait beaucoup Nérévar, et il est possible que « SI » le Tribunal extermina Nérévar, Azura maudit le Tribunal et les Chimers pour ça. Les prêtres dissidents semblent croire en cela, tout comme moi.

Les Outils de Kagrénac… Lamentation, Broyeur et Garde Spectrale. Les outils que Kagrénac conçu et construit afin d’exploiter le Pouvoir du Cœur. Est-ce que ces outils peuvent aussi être utilisés pour détruire le Cœur ? Est-ce qu’ils sont destinés à renvoyer le Cœur à son lieu d’origine ? Ou sont-ils simplement à utiliser afin de drainer le Pouvoir pour une consommation individuelle ? Eh bien, nous savons que le Tribunal les a utilisés. Le mystère es plutôt : quels était les plans de Kagrénac pour ces outils ? Sotha Sil a été capable de décrypter leurs utilités pour saper le Pouvoir. Le Tribunal s’est rendu dans la Montagne Ecarlate avec les outils et les a utilisé dans ce sens, devant ainsi des « Homme-Dieux ».

Les Dwemers… En tout premier lieu, chacun doit se questionner soi-même, les Dwemers étaient-ils insouciants ou bien une race imprudente ? Etaient-ils tolérants ou bien des tyrans ? Ont-ils créés des machines offensives ou bien défensives ? Ce qui « EST » connu est, qu’ils étaient de grands inventeurs de machines et de constructions. La magie n’était pas favorisée, mais des rumeurs laissent sous-entendre que certains praticiens étaient dans leurs rangs. Le Tribunal avait-il peur d’eux ? Nous savons que pour que le tribunal gagne leurs Pouvoirs « Homme-Dieux », ils devaient vaincre les Dwemers et retrouver ce qu’ils avaient en leur possession. Ce n’est pas vraiment que le Tribunal avait peur des Dwemers mais plutôt qu’ils avaient peur de ce que les Dwemers pourraient devenir. Après tout une race entière aussi puissante que le tout petit Tribunal serait un assez grand pouvoir à reconnaitre.

Leur disparition est toujours un mystère qui s’épaissit de plus en plus au fur et à mesure du temps. On sait que « TOUT » Dwemer (à l’exception de mon vieil ami Yagrum) ont disparus quand Kagrénac frappa le Cœur avec ses Outils. L’endroit où ils sont partit est un vrai mystère. De nombreuses théories suggèrent qu’ils ont été transportés dans l’Oblivion. Un sévère endroit où « vouloir » aller, si tel était leurs plans. Il est possible qu’ils aient été quelque part par accident. Il est même possible qu’ils ont juste cessé d’exister tous cour. L’idée qu’ils sont perdus est assez nouvelle pour moi. Je doute fortement de cela puisque les lois du temps qui nous gouverne devrait nous avoir fait oublier jusqu’à leur existence. Il s’agit effectivement de quelque chose de surnaturel. Je « CROIS » savoir ce qui s’est passé, mais en réalité, je NE sais pas où ils sont partit ou si ils sont, en toute vérité, mort.

Peut-être qu’avec le mélange de nos idées et de nos études, nous pouvons trouver plus de sens et de solutions sur ce sujet. J’ai passé beaucoup de mon temps et de mon travail sur ce sujet et espère lui trouver une solution.

Et méfiez-vous du Tribunal. Depuis des années ils savent ce que j’ignore. Ils parlent d’étranges Langages et mordent avec le venin du serpent. Leurs secrets sont leurs véritables Pouvoir. Et ainsi, la prophétie du retour du Nérévarine les amènera en pleine lumière et leurs identités seront alors connues de tous. Leurs mots sont à prendre tel un grain de skooma.


Divayth Fyr le Psijic :

Ah, B, mon bon ami, tu surestime mes intentions. Je ne suis qu’un élève. Un élève des mystères qui engouffrent la terre entière. Ce n’est pas ma méthode d’éviter les obstacles. Ma méthode est de les résoudre. On peu connaitre la façon de monter une montagne, et malgré cela ne jamais la monter. Je ne recherche pas le Pouvoir du Cœur. J’aspire à le comprendre. De la même façon que peut-être les Dwemers y aspirait. Nous ne savons pas de source sure qu’ils avaient espéré user d’un tel pouvoir. Peut-être ont-ils simplement souhaité comprendre son utilité. Pas nécessairement l’utiliser. On peut toujours en débattre.

Il y a quelques temps, j’ai eu une opportunité d’avoir une audience avec Sotha Sil. Il s’est depuis enfermé dans un total isolement. Il avait peut à dire mas aurait écouté avec une oreille toujours alerte. J’ai essayé de le persuader de travailler avec moi sur les théories impliquant les fluxuations du pouvoir que les Dwemers semblaient avoir maitrisés avec leurs machines à vapeur. Malgré son apparence intéressée, il avait un autre devoir à accomplir. Un dont il n’allait et dont il ne voulait pas mentionner. Je lui ait annoncé mon départ et ai pris congé. Il n’a plus jamais été vu depuis cette entrevue. Je dois admettre que Sotha Sil partage le même intérêt que moi, mais nous sommes très très différents. Quand je cherche à comprendre, il cherche à utiliser. Il est la chose la plus éloigné d’un Psijic. Je ne crois pas que Sotha Sil s’occupe des façons de faire Psijics. Il existe un ordre dans la Méthode, et Sotha Sil tend à suivre seulement SON propre ordre.

Dans le passé il semblerait que le Tribunal a perdu les communications les uns avec les autres. Avec le changement de la Cité Mécanique de Sotha Sil et son silence et son isolement, Vivec contenant tout pouvoir pour tenir sur pied la majestueuse corruption, et Longsanglot en passe de devenir une capitale majeure, les Homme-Dieux avaient leurs mains pleines. Et avec le Prophétie du Nérévarine qui toquait à leurs portes, je n’imaginerais aucune joie, mais de la peur dans leurs cœurs et ce que la Prophétie a en stock pour eux.

Et c’est en effet un choc ! Mes études et recherches m’ont tellement préoccupée récemment que j’ai été trop insouciant quant à ces discussions. L’élévation de l’esprit des Psijics. Cependant, n’étant pas un Psijic moi-même, j’ai donc eu plus de temps qu’eux pour discuter de ce sujet rapidement.

Un homme devenant Divin ? Peut-être serait-il plus approprié de parler d’une simple ombre divine ? Et quand à « surpasser » un Dieu, et bien, maintenant nous parlons d’un grand cadeau. On doit réellement réfléchir quant à la nature des « Dieux » avant de pouvoir imaginer gagner de tels pouvoirs/autorités. Qui et que sont les Dieux ? Sont-ils de vraies choses de pouvoir ? Sont-ils de simple Hommes possédant des habilitées incroyables ? Sont-ils des fragments de notre imagination apeurée ; quelque chose qui nous conforte dans nos bons comme dans nos mauvais moments ? SI, en effet, ces « Dieux » sont des êtres dont l’écriture et l’encre nous poussent à croire, alors n’importe quel Homme pourrait supputer l’idée d’être l’être Unique.

Cela nous amène à d’autres intéressantes révélations. Les Dwemers mettaient apparemment les Dieux au bord de la peur avec leurs nouveaux et étonnants pouvoirs (le terme « technologie » pourrait ici être utilisé). Les Dwemers ont-ils cherché des pouvoirs Divins et ont-ils essayé d’atteindre une sorte de Nirvana ? On pourrait imaginer que cela n’est pas très différents de l’élévation de l’esprit des Psijics, MAIS les Dwemers étaient-ils Psijics, ou bien quelque chose de la sorte ? Ont-ils réussit à se rapprocher si près que même les Dieux ont eu peur, and ont trouvé la lourde punition qui les attendait ? Le Cœur de Lorkhan a été, selon les légendes, jeté sur Vvardenfell, créant le Mont Ecarlate. Les Dwemers étaient natifs de cette région, et ont découvert le Cœur, il semblerait qu’il aurait eu les compétences pour gagner quelque chose à partir du Cœur. Pour quelle autres raisons Lorkhan et Dagoth Ur attaqueraient-ils la Montagne ? Lorkhan désirerait surement retrouver son Cœur, mais Dagoth Ur était tenté par le pouvoir inconnu du Cœur. Les Dwemers n’étaient qu’un simple obstacle, n’est pas ? Dagoth Ur n’avait aucune sympathie pour les Dwemers. L’élévation de l’esprit est surement une idée commune à tout mortel, mais cela est-il possible ? On était pourtant dirigé vers cela, que ce soit les Dwemers ou bien Dagoth Ur, si ils avaient réussi à contrôler le Cœur, cela aurait-il été la Clef pour ouvrir la porte ? Le Cœur d’un « Dieu » en possession d’un mortel. L’idée est très excitante et pourtant si terrifiante.

En tant que Psijic aux nouvelles méthodes, les Dwemers ont apparemment été les plus fructueux dans l’élévation de l’esprit que n’importe lequel des mortels. Leur élévation de l’esprit n’est pas celle des vieilles voies. Les nouvelles méthodes dont je parle sans avoir obtenu un REEL titre, est la Voie dans laquelle j’ai dévoué toutes mes recherches. J’ai trouvé que cette nouvelle voie est des plus délicieuses à étudier. Les Dwemers m’ont appris plus à propos des « idéales » de l’élévation de l’esprit que n’importe lequel des Psijic aurait pu apprendre en 1000 ans. Tant des questions, et si peu de temps. Trouver des réponses semble être la raison primaire de l’existence des mortels.