Le chant de Pélinal, volume 4 : Ses exploits

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
Révision datée du 24 mai 2014 à 16:21 par Ghost (discussion | contributions) (Remplacement de texte — « prev= » par « precedent= »)
Aller à : navigation, rechercher

[Note de l'éditeur : les volumes 1 à 6 proviennent du manuscrit de Reman, conservé à la Bibliothèque impériale. Il s'agit d'une transcription de fragments anciens retrouvés par un érudit inconnu de l'ère Deuxième. A part cela, on sait peu de chose sur la source de ces fragments dont certains semblent provenir de la même période, voire du même manuscrit. Cependant, comme les érudits ne s'accordent pas sur la date de ces fragments, nous nous abstiendrons d'émettre une opinion.]

[Pélinal] repoussa les armées des magiciens au-delà de la Niben et revendiqua tous les territoires occidentaux pour la rébellion de Paravania. Kyne envoya la pluie pour laver les villages et les forts maculés de sang et sur lesquels la bannière des Ayléides avait cessé de flotter. Les armées avaient grand besoin de camps dans leur marche en avant. ... [et] il brisa les portes pour libérer les prisonniers des Vahtaches. La reine esclave chevauchant Morihaus planait au-dessus d'eux et les hommes la nommèrent Al-Esh pour la première fois. Il franchit la porte à... pour recouvrer les mains des Mille-Forts de Sedor (une tribu oubliée de nos jours mais fort connue à l'époque), volées par les Ayléides, deux mille mains qu'il rapporta dans un chariot en os de démons, dans un bruit de roues évoquant les lamentations des femmes ayant des peines de coeur... [Texte manquant]... [Et après] le premier massacre qui raffermit les possessions septentrionales des hommes de Kreath, il se tint debout, sa chevelure blanche assombrie par le sang des Elfes, au pont de Heldon, là où les fauconniers de Perrif attendaient les Nordiques. Et eux, le regardant, dirent que Shor était revenu et il cracha à leurs pieds parce qu'ils profanaient ce nom. Il les mena cependant au coeur de l'arrière pays à l'ouest, afin de repousser les Ayléides vers la Tour d'Or blanc, leur lent cercle se retirant et ne comprenant pas la puissance de la soudaine liberté humaine ni les idées démesurées qu'elle apportait. Sa massue écrasa les Thundernachs envoyés comme des vautours par Umaril sur la longue marche de la rébellion se dirigeant vers le sud et l'est, portant Morihaus-Souffle-de-Kyne à Zuathas l'Adroit (un Nède avec un nom keptu) afin de le guérir car le taureau tomba sous une nuée de becs d'oiseaux. Au Conseil des Skiffs, pendant que toutes les armées de Paravania et les Nordiques tremblaient de peur car la Tour d'Or blanc avait été assaillie, Al-Esh elle-même demanda un répit. Mais Pélinal devint furieux et insulta Umaril et les poltrons qu'il croyait voir autour de lui, puis il partit seul pour la Tour, car il agissait souvent sans réfléchir.