Le chant de Pélinal, volume 3 : Ses ennemis : Différence entre versions

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Version du 23 septembre 2011 à 13:44

La Chanson de Pélinal

Volume 3 : Ses ennemis

[Note de l'éditeur : les volumes 1 à 6 proviennent du manuscrit de Reman, conservé à la Bibliothèque impériale. Il s'agit d'une transcription de fragments anciens retrouvés par un érudit inconnu de l'ère Deuxième. A part cela, on sait peu de chose sur la source de ces fragments dont certains semblent provenir de la même période, voire du même manuscrit. Cependant, comme les érudits ne s'accordent pas sur la date de ces fragments, nous nous abstiendrons d'émettre une opinion.]

En ce temps-là, Pélinal Blancserpent était l'ennemi de tous les Elfes vivant à Cyrod. Il passait l'essentiel de son temps à occire des rois magiciens lors de combats en duel plutôt que dans des guerres. Il laissa les champs de la rébellion aux armées de Paravania et à son neveu taureau. Pélinal provoqua Haromir de Cuivrethé et dévora ses carotides en hurlant à la gloire de Reman, un nom alors inconnu de tous. La tête de Gordhaur le Ciseleur fut broyée sur l'autel à tête de chèvre de Ninendava et Pélinal eut la sagesse de jeter un sort de peste pour que le mal ne renaisse plus par la magie des Welkynds. Peu après, Pélinal tua Hadhull sur les marches de granit de Ceya-Tar, et ce fut la première défaite du roi de Feu. Pendant longtemps, aucune arme ayléide ne put percer son armure, une armure ne ressemblant à nulle autre forgée par les hommes. Pélinal reconnaissait ce fait, mais il n'en révélait pas plus, même assailli de questions. Quand Huma, un esclave devenu soldat et fort aimé de Pélinal, fut touché à mort par une flèche fabriquée avec le bec de Celethelel le Chanteur, le Blanc Serpent connut son premier accès de folie. Il saccagea tout ce qui se trouvait sur son chemin, de Nalemae à Celediil et effaça ces territoires, ainsi que tout ce qui s'y trouvait, de la carte des Elfes et des Hommes. Perrif fut obligée de sacrifier aux dieux afin de les empêcher de quitter la terre dans leur grande répugnance. Puis vint l'attaque de la Tour d'Or blanc, lorsque les Ayléides pactisèrent avec les Auroriens de Méridia et les invoquèrent. Ils nommèrent comme champion le terrible semi-Elfe, Umaril le Dépouillé, nimbé d'or, et, pour la première fois, Pélinal fut vaincu, car en Umaril coulait le sang ada qui le préservait de la mort.


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