Journal de Dulza : Différence entre versions

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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Ce ne sont pas les regrets qui me manquent, mais le plus grand reste à jamais d'avoir emporté l'épée ancestrale de notre clan dans ce voyage. De savoir que plus aucune main gro-Morkul ne la maniera jamais, je ressens plus de tristesse que face à ma mort prochaine. Bref, il ne reste qu'à survivre, car il semble impossible d'échapper à ce maudit monde de métal.
 
Ce ne sont pas les regrets qui me manquent, mais le plus grand reste à jamais d'avoir emporté l'épée ancestrale de notre clan dans ce voyage. De savoir que plus aucune main gro-Morkul ne la maniera jamais, je ressens plus de tristesse que face à ma mort prochaine. Bref, il ne reste qu'à survivre, car il semble impossible d'échapper à ce maudit monde de métal.
  
Quelle tete de mule d'encornée je fais. Il paraissait si simple d'aller à Raidelorn, par rapport à mes missions précédentes. Bien sur, je savais qu'on y trouvait d'étranges magies puissantes, mais cela ne m'avait jamais arrêtée. Du moment que l'or était conséquent, et la mission honnête.
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Quelle tête de mule d'encornée je fais. Il paraissait si simple d'aller à Raidelorn, par rapport à mes missions précédentes. Bien sûr, je savais qu'on y trouvait d'étranges magies puissantes, mais cela ne m'avait jamais arrêtée. Du moment que l'or était conséquent, et la mission honnête.
  
 
La tempête qui m'a entraînée dans cet étrange désert je n'en avais jamais vu de semblable. Les éclairs chatoyaient de toutes les couleurs, la pluie me brûlait la peau. J'entendais des chants tout autour de moi, d'un langage glaçant et étrange. Leurs paroles me hanteront jusqu'à mon dernier jour.
 
La tempête qui m'a entraînée dans cet étrange désert je n'en avais jamais vu de semblable. Les éclairs chatoyaient de toutes les couleurs, la pluie me brûlait la peau. J'entendais des chants tout autour de moi, d'un langage glaçant et étrange. Leurs paroles me hanteront jusqu'à mon dernier jour.

Version du 28 avril 2018 à 18:29

Média d'origine : TES Online

Par Dulza gro-Morkul, marchande du Défilé du Déchu


Ce ne sont pas les regrets qui me manquent, mais le plus grand reste à jamais d'avoir emporté l'épée ancestrale de notre clan dans ce voyage. De savoir que plus aucune main gro-Morkul ne la maniera jamais, je ressens plus de tristesse que face à ma mort prochaine. Bref, il ne reste qu'à survivre, car il semble impossible d'échapper à ce maudit monde de métal.

Quelle tête de mule d'encornée je fais. Il paraissait si simple d'aller à Raidelorn, par rapport à mes missions précédentes. Bien sûr, je savais qu'on y trouvait d'étranges magies puissantes, mais cela ne m'avait jamais arrêtée. Du moment que l'or était conséquent, et la mission honnête.

La tempête qui m'a entraînée dans cet étrange désert je n'en avais jamais vu de semblable. Les éclairs chatoyaient de toutes les couleurs, la pluie me brûlait la peau. J'entendais des chants tout autour de moi, d'un langage glaçant et étrange. Leurs paroles me hanteront jusqu'à mon dernier jour.