Courrier du Cheval noir: Adamus Phillida tué !

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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Média d'origine : TES 4 : Oblivion


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ÉDITION SPÉCIALE !
ADAMUS PHILLIDA ASSASSINÉ PAR LA CONFRÉRIE NOIRE !

Adamus Phillida, commandant en retraite de la légion impériale, a été brutalement assassiné par la guilde d'assassins connue sous le nom de Confrérie noire. La sécurité et la liberté du peuple civilisé de Cyrodiil sont menacées. Le meurtre a eu lieu dans la paisible ville de Leyawiin, où Phillida avait décidé de passer le restant de ses jours. Il avait choisi une ville calme, solitaire, loin du tumulte de la Cité impériale où il avait servi la légion pendant plus de vingt-cinq ans.

Mais même en retraite, le noble commandant de la légion ne put échapper à son passé. Au fil des ans, Adamus Phillida avait toujours critiqué assez ouvertement la Confrérie noire et ses pratiques, et avait juré de lever le voile sur les secrets de l'organisation et de traduire ses responsables en justice. Phillida avait déjà été victime de deux tentatives d'assassinat, déjouées par le commandant et ses soldats. Malheureusement, la chance l'avait abandonné à Leyawiin.

Lorsqu'on demanda à Giovanni Civello, nouveau commandant de la légion impériale, s'il existait un doute quant au rôle joué par la Confrérie noire dans l'assassinat de Phillida, voici ce qu'il répondit :

"Evidemment qu'il s'agit de la Confrérie noire. Cela ne fait aucun doute. Il s'agit d'un acte de vengeance, un acte maléfique commis contre une personne qui incarnait la noblesse et la vertu. Adamus a combattu la Confrérie noire toute sa vie, et il est mort pour ses croyances. Adamus Phillida était un grand homme. Il m'a appris tout ce que je sais, et je ne laisserai pas son rêve disparaître avec lui. A partir d'aujourd'hui, je jure de détruire la Confrérie noire et tout ce qu'elle représente !"

Adamus Phillida est bien mort, mais son combat contre la Confrérie noire a survécu, grâce à Giovanni Civello et au reste de la légion impériale. Un jour peut-être, ces assassins assoiffés de sang auront plus à craindre que le peuple de la Province impériale.