Architecture Ayléide

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La plupart des constructions, de la maison au palace, étaient réalisées en pierres blanches taillées essentiellement dans le marbre, le granite et le calcaire, il en allait de même pour certains meubles tels que des bancs, trônes, autels ou encore sarcophages. À cela s'ajoutaient des ornementations en fer, en fer météorique et en verre météorique, principalement pour le support de l'éclairage ou les portes.

Les ruines extérieures sont pour la plupart dévastées, il n'en reste que les entrées vers les palais, donjons ou nécropoles. Seuls quelques colonnes, murs, statues, arches ou puits sont encore debout autour de ces entrées. Mais quelques ruines ensevelies telles que Varsa Baalim montrent l'existence de maisons nommées "cava" et de balcons donnant sur l'extérieur.

Ces ruines extérieures témoignent que les Cités sont souvent construites de façon circulaire autour d'un donjon, d'un Puits Ayléide ou encore d'un port. Ces points sont généralement reliés entre-eux par des allées sur-élevées agrémentées d'arches.
En contrebas semblent se trouver les rues, places et habitations, les rues étant pavées par de larges blocs de calcaire.

L'intérieur des ruines est au contraire relativement bien préservé, et permet de constater que les Ayléides construisaient des pièces aux dimensions gigantesques avec des plafonds pouvant atteindre une dizaine de mètres. Ces pièces pouvaient aussi bien être de simples halls, corridors, des chambres de palais ou encore des cryptes.
Il n'est pas rare qu'une même pièce soit constituée de deux étages : on trouve fréquemment des balcons ainsi que des ponts d'intérieurs. Certaines parties inférieures semblent faire office de bassins ou encore de fosses, notamment dans les nécropoles.

La plupart de ces ruines sont truffées de pièges mortels et de passages secrets, ce qui montre que nous avons principalement affaire à des tombeaux, temples et autres lieux sacrés.

Architecture intérieur

La forme la plus courante dans l'art ayléide est une sorte d'arabesque formant des lianes ou des arbres.
Le sens de ces arabesques est inconnu, mais on en trouve pratiquement partout : sur des murs, des colonnes, des portes, des arches mais aussi sur des endroits assez improbables comme des boutons-poussoirs.

Si la majorité de ces gravures sont réalisées à même le calcaire ou le marbre, il arrive que certaines soient réalisées à l'aide de verre météorique.