De La Grande Bibliotheque de Tamriel
Par Georges Plouffe
Où que je pose le regard, ma chère clarisse,
Je pense à toi. Des oies se hissent,
au-delà des nuages, parmi les cieux,
m'évoquant la lumière de tes yeux.
Allant dans les bois je vois un daim,
je pense a tes cheveux châtains.
En vogue l'Iliac j'arpente
Dans chaque vague, tu es présente
Tu es dans les eaux, tu es dans les cieux !
Ô Clarisse le serveuse, sois mon amoureuse !
Chanté,
Georges Plouffe, second
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