Sonnet du roi Olaf
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Olaf, notre tourmenteur, ô borgne renégat.
Démon sanguinaire et roi tueur de dragons.
Ta légende n'est qu'horreur, invention et mensonge.
Numinex capturé ? Que voilà belle menterie.
Strophe illisible
C'est en promesses et menaces que tu pris le pouvoir.
D'Épervine à Fortdhiver, tous courbèrent l'échine.
Seule Solitude tint bon, héros de Bordeciel.
Ta vengeance, Olaf, s'abattit sans appel. Pernicieuse et terrible elle fondit sur la ville.
Strophe illisible
Ainsi finit l'histoire d'Olaf l'imposteur, menteur, voleur, vaurien que nous confions aux flammes.
À Solitude, les bardes, chaque année, se retrouvent et brûlent l'effigie d'un roi se montrant bien vantard.