Journal de Drokt
Je n'ai jamais été de ceux qui écrivent leur vie. Les prêtres-rois d'autrefois méritent qu'on écrive des livres sur eux, mais Drokt n'est qu'un homme ordinaire. Ceci n'est donc pas un journal et je n'y raconte aucune histoire, mais cette machine infernale s'est mise à m'occuper l'esprit et je ne partirai pas avant d'avoir compris de quoi il retourne.
Tant qu'il est séparé de la boîte, l'ensemble du dispositif est aussi inerte qu'un horqueur mort. C'est le fait d'insérer ce cube dans l'espace prévu qui lui donne vie.
Cinq anneaux pour seulement quatre boutons ? De toute façon, la plupart ne fonctionnent pas, en général. Quand les lumières s'alignent, d'autres s'ouvrent mais ça n'aide pas... Ça fait juste bouger de nouvelles pièces.
Le vieux sac à puces Khajiit qui m'a vendu le cube m'a dit quelque chose... Ah oui, "la lumière du savoir de la machine se trouve sur le cube". Je m'en souviens, parce qu'il me l'a fait répéter jusqu'à ce que j'aie envie de l'étrangler.
D'ailleurs, c'est ce que j'ai fini par faire.
J'ai essayé de partir, mais des loups rôdent au sommet et des monstres sans yeux errent hors de la tour. Je dois rester ici jusqu'à ce que je trouve la solution.
Et je la trouverai !