De La Grande Bibliotheque de Tamriel
Saban : Tro dura-hi. Go Tuwhacca. Nogo Tuwhacca.
Saban : Shami. Shami. Go kukri.
Saban : Nogoh. Ngaro. Tuktura. Nogoh. Shami! Shami ! Shami ! Shami !
Saban : Go kukri nogoh! Ngaro! Tuktura!
Saban : Nogo go Tuwhacca.
Saban : Nogo Tuwhacca. Shami. Beteki matana, Sura.
Coyle : La gemme spirituelle.
Saban : Tro dura-hi !
Coyle : L'anneau.
Saban : To-trang no mo.
Saban : To-trang no mo.
Basil : Qu'est-ce que c'est ? Ça a marché ?
Saban: A'Tor no mangai, Sura.
Coyle : Je suis désolé, Cyrus.
Basil : Ça ne marche pas ? Que s'est-il passé ? Qu'est-ce que tu as fait !?
Coyle : Cela n'a pas fonctionné.
Basil : Et maintenant, Rougegarde !?
Cyrus : L'épée...
Saban : Uta-teni.
Cyrus : ...Son âme est dans l'épée.
Coyle : Mère ?
Cyrus : Comment cela s'est-il produit ?
Saban : A'Tor no mangai, Sura.
Coyle : Elle ne sait pas. C'était...
Basil : On s'en fiche de comment ça s'est produit ! C'est terminé, Cyrus. Nous ne pouvons suivre une épée. Tu as échoué. Nous partons.
Cyrus : Est-ce comme cela que vous honorerez votre Prince, alors ? Je te trouvais prudent Basil, mais jusqu'ici je ne t'avais jamais pris pour un lâche.
Cyrus : Nous avons tous attendu le retour du Prince. Maintenant qu'il est revenu, vous partez.
Cyrus : Sa forme est différente, c'est vrai, mais son esprit est ici. (Montrant l'épée) ici. Et son esprit n'est-il pas sa partie la plus authentique ? Ne songez-vous pas qu'il a peut-être choisi cette forme et ce symbole comme un signe de ses intentions ?
Cyrus : Oui... peut-être cette âme, qui n'eut d'autre recours que celui de se retrouver piégée dans un bijou, impuissante, alors que ses hommes se cachaient et se défilaient de leurs devoirs, de son devoir... peut-être cette âme s'aiguisa-t-elle en ceci et, sans erreur, revient vers vous sous cette ultime forme si appropriée : une épée. Tu dis ne pouvoir suivre une épée ? Eh bien moi je dis que tu t'es éloigné de la tienne trop longtemps ! Pourquoi êtes-vous ici sinon pour VOUS BATTRE ? Votre Prince vous indique la façon la plus pure de démontrer votre courage ! Par le métal ! Et le message de cette lame infaillible est plus clair que les mots, car aujourd'hui n'est pas un temps pour les mots, mais pour les mains braves, les épées étincelantes, et le sang. Oui camarades, le sang ! Trop longtemps figé dans vos veines ! Et vous préféreriez rester inflexibles plutôt que de me suivre ? Eh bien, si vous ne me suivez pas, sachez que votre Prince lui le fera, et que la honte vous accompagnera ! Car son sang est tout aussi solide, mais redressé par l'acier et renforcé dans la mort ! Levez-vous à sa manière ! Comme des épées ! Car nous sommes des Couronnes, comme lui !
Cyrus : Le Prince est mort ! Longue vie au Prince !
Basil : Que devons-nous faire ?
Cyrus : Vous devez sécuriser le port, nous ne pouvons en avoir d'autres qui arrivent. Une fois fait, prenez-vous-en aux Impériaux qu'il reste sur l'eau. Quand ils verront que nous avons regagné le port, ils feront cap vers le continent.
Iszara : Et toi ?
Cyrus : Je vais me rendre au Palais et tuer le gouverneur.
Iszara : Tu n'y arriveras pas seul. Comment feras-tu pour entrer ?
Cyrus : Je ne serai pas seul. Et le Prince partage des secrets.
Coyle : Laisse-moi t'accompagner, Cyrus.
Iszara : Et tu ne partiras pas sans moi.
Cyrus : Non, aide Basil et la Ligue à prendre le port. Si nous assiégeons le Palais, Richton et ses hommes s'y retrancheront. Il faut en finir maintenant. Avec la Ligue rageuse sur l'eau, le Palais sera presque vide car ils essayeront de vous arrêter. J'arriverai facilement jusqu'à Richton et je lui rappellerai à qui appartient le trône de Stros M'Kai.
Iszara : Le reste de Martelfell entendra parler de ceci.
Cyrus : Alors faisons en sorte d'être retentissants.
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