Agents et réactifs/Fleurs sauvages : Différence entre versions
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Les opinions divergent quant à la façon de traiter les fleurs sauvages collectées. Nombreux préfèrent retirer les feuilles mortes, résidus et autres brindilles, avant de couper les tiges des fleurs tôt le matin, puis encore une fois tous les deux ou trois mois lors des saisons de pousse (varie selon les espèces). Utilisez de petits couteaux, ou tout autre instrument de coupe plus délicat encore (attention à vos doigts, surtout avec les épines-de-dragon). Puis laissez les fleurs sécher sans retirer leur tige, typiquement à l'intérieur d'une petite annexe sombre ou (si vous voyagez) dans une poche plate. | Les opinions divergent quant à la façon de traiter les fleurs sauvages collectées. Nombreux préfèrent retirer les feuilles mortes, résidus et autres brindilles, avant de couper les tiges des fleurs tôt le matin, puis encore une fois tous les deux ou trois mois lors des saisons de pousse (varie selon les espèces). Utilisez de petits couteaux, ou tout autre instrument de coupe plus délicat encore (attention à vos doigts, surtout avec les épines-de-dragon). Puis laissez les fleurs sécher sans retirer leur tige, typiquement à l'intérieur d'une petite annexe sombre ou (si vous voyagez) dans une poche plate. |
Version du 4 mars 2018 à 21:53
Auteur réel : David S. J. Hodgson (Écrivain), Brynn Metheney (Artiste) Média d'origine : The Hero's Guides to The Elder Scrolls Online Commentaire : Journal d'un apprenti sorcier, sur l'alchimie et l'enchantement.
Par Gargrell Sorick, 2E 578
A h, la délicate floraison des prairies de montagne, butinée par les abeilles, baignée dans la chaleur du soleil et alimentée par la pluie de Kynareth. Mais est aussi (malheureusement, bien qu'occasionnel) piétinée par des bottes de bandits ou brûlée par des Coloviens en maraude. Ne sous-estimez pas l'efficacité du pollen et des pétales des beautés de Tamriel ! L'apothicaire de Haltevoie est plus qu'intéressé par les plantes en fleur, qu'elles soient fraîchement cueillies ou au contraire séchées. Lorsque vous chassez ou que vous purgez Tamriel des abominations et daedra, n'oubliez pas de collecter des fleurs, particulièrement si vous explorez des lieux reculés.
Les opinions divergent quant à la façon de traiter les fleurs sauvages collectées. Nombreux préfèrent retirer les feuilles mortes, résidus et autres brindilles, avant de couper les tiges des fleurs tôt le matin, puis encore une fois tous les deux ou trois mois lors des saisons de pousse (varie selon les espèces). Utilisez de petits couteaux, ou tout autre instrument de coupe plus délicat encore (attention à vos doigts, surtout avec les épines-de-dragon). Puis laissez les fleurs sécher sans retirer leur tige, typiquement à l'intérieur d'une petite annexe sombre ou (si vous voyagez) dans une poche plate. Autrement, vous pouvez les couper, puis les rapporter dans votre masure, pour les planter dans un lit de terre meuble, que vous arroserez jusqu'à un pouce de profondeur. Pour les personnes qui en ont les moyens, un intendant ou huscarl peut s'en occuper pour vous. Puis les nouvelles pousses de fleurs peuvent être récoltées et vendues ; il s'agit très certainement de la méthode la plus efficace pour dégager un revenu de la vente de produits alchimiques, en comparaison à l'élevage de vermines.
Comme on peut s'y attendre, ces fleurs poussent sur les plus hautes cimes, là où l'air est rare mais pur. Elles poussent dans des touffes et buissons vert clair, et peuvent prendre différentes teintes, comme l'orange, le jaune, le rouge ou encore le violet. Bénéfices prouvés (en alchimie) :
Vous pouvez pratiquement trébucher sur ces fleurs quasi-luminescentes lorsque vous marchez dans la grande forêt. Elles possèdent de très longues tiges recouvertes de magnifiques fleurs bleues ou violettes. Elles peuvent aussi se trouver sur le bord des chemins, dans l'herbe ou encore dans les pâturages. Bénéfices prouvés (en alchimie) :
Un arbuste recouvert d'épines, vous devez vous frayer un chemin au travers des épines pour trouver des fleurs rouge-sang (parfois nommées « mâchoires du dragon », car si vous pressez les fleurs sur les côtés, elles ressemblent alors à une gueule de reptile.) Bénéfices prouvés (en alchimie) :
Originaire du Weald occidental, cette fleur délicate pousse parmi la lavande et petits arbustes. Notez les cloches exquises et les stigmates engorgés. Bénéfices prouvés (en alchimie) :
Tendez l'oreille ! Pouvez-vous entendre le léger carillon d'une nirnrave au milieu du bruit d'un torrent ? Cette plante luisante aux épaisses racines poussent près de l'eau, et brille légèrement après le couché du soleil. Bénéfices prouvés (en alchimie) :
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