La réplique d'une sœur : Différence entre versions

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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je ne t'ai jamais pris pour un idiot, mais il y a un début à tout. Tu écris ce qui devrait déjà être connu. Tu refuses tous les signes, et t'enferres dans tes illusions, tandis que je regarde sans ciller la vérité en face.
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Je ne t'ai jamais pris pour un idiot, mais il y a un début à tout. Tu écris ce qui devrait déjà être connu. Tu refuses tous les signes, et t'enferres dans tes illusions, tandis que je regarde sans ciller la vérité en face.
  
 
Ouvre les yeux, mon frère ! Nous ne pouvons plus l'ignorer. La Mandécailles a tué notre ordre et ne nous a amené que la détresse. C'est son incompétence qui a poussé le Dovah Thurvokun à nous abandonner. Ne vois-tu donc pas cette évidence ? C'est sa faiblesse qui nous amène la ruine. Et comme un chiot caractériel, elle refuse de nous rendre la liberté. Je refuse la disgrâce qu'elle nous réserve.
 
Ouvre les yeux, mon frère ! Nous ne pouvons plus l'ignorer. La Mandécailles a tué notre ordre et ne nous a amené que la détresse. C'est son incompétence qui a poussé le Dovah Thurvokun à nous abandonner. Ne vois-tu donc pas cette évidence ? C'est sa faiblesse qui nous amène la ruine. Et comme un chiot caractériel, elle refuse de nous rendre la liberté. Je refuse la disgrâce qu'elle nous réserve.
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Version du 15 février 2018 à 19:38

Média d'origine : TES Online

Par Ruelde


Mon frère,

Je ne t'ai jamais pris pour un idiot, mais il y a un début à tout. Tu écris ce qui devrait déjà être connu. Tu refuses tous les signes, et t'enferres dans tes illusions, tandis que je regarde sans ciller la vérité en face.

Ouvre les yeux, mon frère ! Nous ne pouvons plus l'ignorer. La Mandécailles a tué notre ordre et ne nous a amené que la détresse. C'est son incompétence qui a poussé le Dovah Thurvokun à nous abandonner. Ne vois-tu donc pas cette évidence ? C'est sa faiblesse qui nous amène la ruine. Et comme un chiot caractériel, elle refuse de nous rendre la liberté. Je refuse la disgrâce qu'elle nous réserve.

Sans Dragon, notre ordre est brisé. Je choisis de suivre le Dovah Thurvokun, et lui-seul. Je n'ai aucune loyauté envers ce qu'il rejette. La Mandécailles n'est que l'ombre d'elle-même, indigne de nous diriger, incapable de l'admettre. Je refuse de suivre une personne aussi faible.

Je te suggère de te pencher honnêtement sur ta dévotion. Le changement est imminent. Si tu refuses d'avancer, tu te noieras dans les malheurs du passé. Prends ta décision avec sagesse, Hjarkborn. Avant qu'elle ne te soit imposée.

Sincèrement, Ruelde