De la peste knahataine : Différence entre versions
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Il y a dix ans, une jeune [[Rougegarde]] nommée Périzada a déclaré avoir reçu une vision des [[Huit Divins|Divins]]. Elle a répliqué le remède vu dans son rêve et l'a testé sur un village destiné à être rasé (avec ses habitants). Son remède a fonctionné et ce village fut sauvé. | Il y a dix ans, une jeune [[Rougegarde]] nommée Périzada a déclaré avoir reçu une vision des [[Huit Divins|Divins]]. Elle a répliqué le remède vu dans son rêve et l'a testé sur un village destiné à être rasé (avec ses habitants). Son remède a fonctionné et ce village fut sauvé. | ||
− | Ce remède était fait à base de pinces de | + | Ce remède était fait à base de pinces de [[faucheclan]]s bouillies dans de l'eau de mer. Le patient devait ensuite boire le liquide obtenu. La forte hausse de la demande pour les pinces de faucheclans, vraies ou fausses, en a fait exploser le prix. Tant de prétendus remèdes se sont révélés mortels que celui de Périzada n'a jamais été officiellement reconnu. Comme Périzada elle-même est morte de cette peste par la suite, l'efficacité de son remède a toujours été considérée comme douteuse, dans le meilleur des cas. |
Le « remède de faucheclan » a donné naissance à de nombreux autres supposés remèdes, qui consistent tous à faire bouillir quelque chose dans un liquide, puis à boire le résultat. Chez les plus pauvres, le bouillon de poule s'est révélé être le remède le moins cher, et le plus facilement trouvable. Généralement, ce remède soulage la toux des victimes, leur permettant de mieux respirer. | Le « remède de faucheclan » a donné naissance à de nombreux autres supposés remèdes, qui consistent tous à faire bouillir quelque chose dans un liquide, puis à boire le résultat. Chez les plus pauvres, le bouillon de poule s'est révélé être le remède le moins cher, et le plus facilement trouvable. Généralement, ce remède soulage la toux des victimes, leur permettant de mieux respirer. |
Version du 18 mars 2017 à 16:48
Média d'origine : TES Online
Par Néléminduure, Archiviste
Situation : L'apparition et la propagation de cette maladie restent un mystère. J'espère y trouver la réponse en réunissant les informations disponibles. Il semble que les Argoniens soient immunisés. Cela a nourri la rumeur selon laquelle ils auraient introduit cette peste pour se venger de leurs années d'esclavage sous le joug des Elfes Noirs. Ces allégations n'ont jamais été confirmées ni infirmées : elles demandent de nouvelles recherches. Médiation : Les méthodes qui ont ralenti la propagation de cette peste incluent l'incinération des effets personnels des victimes (fâcheusement, entraînant parfois l'incinération du reste de la famille) ; la ségrégation des malades dans des ghettos (voire leur emmurage) ; ou l'envoi de ces malades au large, sur des esquifs à la dérive. Le traitement par les sorts ou élixirs de soin habituels ne produisent que des résultats irréguliers. Symptômes et évolution : Un malaise général, la perte de l'appétit et une grande fatigue apparaissent avant que la victime ne développe d'autres symptômes. Les yeux des malades coulent constamment. Une éruption rouge et brillante, mais ne provoquant pas de démangeaisons, apparaît sur la peau. Dans les vingt-quatre à trente-six heures, les victimes souffrent de saignements de nez, leurs larmes se chargent de sang, et une éruption granuleuse se répand sur tout leur corps. À ce stade, les victimes souffrent d'une toux rauque et profonde. Dans les trente-six à quarante-huit heures, cette toux commence à produire des glaires sanglantes. Dans la plupart des cas, la mort survient en moins de soixante-douze heures après les premiers symptômes, mais certaines victimes peuvent survivre pendant cinq à sept jours. Traitement : Lorsque la peste knahataine apparaît, elle semble inarrêtable. Aucun traitement fiable n'a encore été trouvé. Il y a dix ans, une jeune Rougegarde nommée Périzada a déclaré avoir reçu une vision des Divins. Elle a répliqué le remède vu dans son rêve et l'a testé sur un village destiné à être rasé (avec ses habitants). Son remède a fonctionné et ce village fut sauvé. Ce remède était fait à base de pinces de faucheclans bouillies dans de l'eau de mer. Le patient devait ensuite boire le liquide obtenu. La forte hausse de la demande pour les pinces de faucheclans, vraies ou fausses, en a fait exploser le prix. Tant de prétendus remèdes se sont révélés mortels que celui de Périzada n'a jamais été officiellement reconnu. Comme Périzada elle-même est morte de cette peste par la suite, l'efficacité de son remède a toujours été considérée comme douteuse, dans le meilleur des cas. Le « remède de faucheclan » a donné naissance à de nombreux autres supposés remèdes, qui consistent tous à faire bouillir quelque chose dans un liquide, puis à boire le résultat. Chez les plus pauvres, le bouillon de poule s'est révélé être le remède le moins cher, et le plus facilement trouvable. Généralement, ce remède soulage la toux des victimes, leur permettant de mieux respirer. Le bouillon de poule n'est assurément pas un remède garanti, mais c'est certainement le plus accessible. Son utilisation est recommandée si cette terrible maladie devait refaire son apparition. Comme l'éruption cutanée granuleuse ne provoque pas d'irritation, beaucoup ne la traitent pas. Ceux dont l'éruption reste couverte – par des bandages, des cataplasmes, ou simplement des vêtements – semblent moins à même d'infecter ceux qui les soignent. Cela explique également pourquoi cette maladie se propage beaucoup plus lentement sous les climats plus froids, ou en hiver. Connaissez-vous d'autres remèdes ? Si c'est le cas, merci de m'envoyer vos informations afin que je les étudie. |