Notes sur Razak : Différence entre versions

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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Razak était plus que brillant. S'il faut en croire les historiens de Cyrodiil, Razak était au seuil de sa plus grande création, avant de mourir : un assemblage véritablement autonome, capable de fonctionner sans tube de contrôle, et hors d'une cité dwemer. Si nous pouvions canaliser, trouver et reproduire cet appareil, la machine de guerre impériale pourrait devenir implacable.
 
Razak était plus que brillant. S'il faut en croire les historiens de Cyrodiil, Razak était au seuil de sa plus grande création, avant de mourir : un assemblage véritablement autonome, capable de fonctionner sans tube de contrôle, et hors d'une cité dwemer. Si nous pouvions canaliser, trouver et reproduire cet appareil, la machine de guerre impériale pourrait devenir implacable.
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Cela ne saurait plus tarder ! Une seule porte nous sépare d'une armée qui ne dort jamais. Qui ne se rend jamais.
 
Cela ne saurait plus tarder ! Une seule porte nous sépare d'une armée qui ne dort jamais. Qui ne se rend jamais.
  
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Version du 17 mars 2015 à 19:40

Média d'origine : TES Online

Par Anonyme


Razak était plus que brillant. S'il faut en croire les historiens de Cyrodiil, Razak était au seuil de sa plus grande création, avant de mourir : un assemblage véritablement autonome, capable de fonctionner sans tube de contrôle, et hors d'une cité dwemer. Si nous pouvions canaliser, trouver et reproduire cet appareil, la machine de guerre impériale pourrait devenir implacable.

Si du moins nous pouvions entrer dans cette maudite crypte. Elle est hermétiquement fermée, et déjoue tous nos efforts pour l'ouvrir, conventionels ou magiques. La porte possède trois serrures, chaune portant un symbole alchimique – ou quelque chose d'approchant – au-dessus d'elle. J'ai ordonné que mes hommes cherchent les clefs, mais ce sont des soldats, pas des archéologues. Nous n'avons rien trouvé.

Cela ne saurait plus tarder ! Une seule porte nous sépare d'une armée qui ne dort jamais. Qui ne se rend jamais.