Explorateur de Frôleciel, Vol. 1 : Différence entre versions
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Version du 21 octobre 2014 à 23:05
Média d'origine : TES Online
C'est avec autant d'enthousiasme que de fébrilité que j'entame la rédaction de ces journaux, appelés à servir de base à un travail académique sur Frôleciel et les Nèdes anciens. L'université de Gwylim a généreusement financé l'expédition, en échange des droits exclusifs sur la publication d'au moins deux ouvrages traitant de ce sujet. Notez bien que ces journaux ne sont pas des ouvrages dûment compilés et publiés. Ils contiennent mes observations, mes théories et des pensées d'ordre général sur tout ce que je verrai au cours de ce voyage. Ils contiennent aussi des apartés de ma partenaire de recherche, Vérita Numida, dont les théories s'opposent généralement radicalement aux miennes. J'aime à penser que nos différences de point de vue permettent de construire une image plus fidèle du passé, mais j'admets dans ces pages qu'elle me fait parfois enrager. Mais sans son soutien et l'appui de ses titres en plus des miens, je ne suis pas sûr que cette expédition aurait vu le jour. Pourquoi Frôleciel ? Nous pensons que ces ruines anciennes détiennent les réponses aux questions qui nous intriguent depuis que nous avons commencé à étudier le passe de Cyrodiil. En substance : qui étaient les Nèdes anciens, le peuple qui finit par donner naissance aux puissants Impériaux ? Je les ai toujours imaginés comme des brutes primitives, qui pouvaient se déchirer entre elles autant qu'affronter leurs ennemis, mais Vérita persiste à penser que leur culture était plus avancée que je veux bien le croire. Peut-être que les profondeurs des ruines de Frôleciel nous départagerons sur ce point.
C'est remarquable ! La cité de Frôleciel s'étend non seulement autour des montagnes de la Queue de dragon, mais aussi à travers elles et même en dessous. Cet endroit est une incroyable prouesse d'ingénierie. On dirait que Vérita marque au moins un point. Les Nèdes anciens n'étaient pas que des paysans brutes primmitives. Mais les monolithes de la cité doivent encore nous révéler qui ils étaient vraiment. Nous avons commencé nos recherches dans une section de la cité en ruine que nous avons décidé d'appeler le « Fort ». Notre but premier est d'explorer l'endroit et d'en tirer des conclusions quant à ce que devait être la vie quotidienne dans cette métropole nède. Employaient-ils à la fois les intérieurs et les extérieurs, ou occupaient-ils surtout les lieux creusés en plein cœur de la montagne ? Peut-être que leur gravures complexes détiennent des indications à ce sujet. Vérita n'est pas d'accord, comme d'habitude. Elle suppose que le peuple vivait et travaillt à la fois dans et hors de ces grands bâtiments, à présent en ruine. D'après elle, les traces de retrait des nèdes dans ce qui semble être des lieux convertis en habitats donnent crédit à la thèse selon laquelle ils se sont retirés dans la montagne suite à l'invasion yokudienne. Tout bien réfléchi, sa théorie pourraait être plus robuste, mais je ne suis pas prêt à l'admettre devant elle. Pas encore. |