Et'Ada, Huit Aedras, Mangent le Rêveur : Différence entre versions
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| − | + | Que toute interaction soit une bagatelle d'affirmation sur un loup du néant, et que toute expérience (qui est, tout) née de ce hurlement primaire tomberait en cascade jusqu'à l'écho-besoin d'hologramme, chaque tranche la même sauf pour l'échelle, et toute la magie qui aurait besoin de jaillir juste pour tenir ensemble le vivant, divin croix-but, maintient les supports fait du besoin d'exister (axial, le long de ses doubles rayons de combat, chacun refusant leur point d'origine, qui est, la Tour), terrestons contre chronocules, et à la fin (une fin qui refuse toujours d'avoir lieu) il devient tout un lobotomisé (pour ce qui n'est pas lobal si la dracochorégraphie fait la chair?), reptiles (enroulés), et un dieu-carte massif (tenant une boussole, tenant une pendule), bavant (l'eau à partir de laquelle nous nous sommes arrachés pour dire, comme un miroir, autochtonique, automatique, "NOUS SOMMES, AUSSI") sur ses genoux innombrables, la démence donnant la dimension, dimension démente... | |
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| + | ''À ce stade toute transcription devient impossible, exceptée par la voie des partitions de musique, une orchestration de ce qui a été tenté durant le règne de NUMINIT, qui, avec tout le monde dans la folie radiale de la symphonie, a été vaporisé par adjacentia. La tenue-vrille adachimelique requise est activée, prévenant la chute de l'Empire. À titre imposthume, l'Amulette des Rois a permit au "Conseil du Cocon" que le sporêve "Et'Ada, Huit Aedras, Mangent le Rêveur" soit immédiatement stocké dans mille huit armes de ravissement cyrodiliennes.'' | ||
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Version du 20 octobre 2011 à 14:45
Transcription d'un sporêve d'un Prêtre de la Phalène inconnu, évaporé, qui a atteint la somme nulle
L'Aedroth Aka, qui va ainsi par beaucoup de noms a suggéré que j'étais peut-être sur le point de commettre un memospore, est complètement fou. Son esprit s'est brisé quand son "bâton d'Éternité a permit le jour" et nous de tout l'Aurbis vivons à travers ses fragments, pris au piège dans les écrits temporels et griffures du caprice acausal qu'il engendra en disant "JE SUIS". Dans le tonnerre éthérique d'auto-applaudissements qui a suivi (plutôt, ondulé jusqu'à la convention, qui est, de l'amnésie), n'est-il pas étonnant que le Dieu du Temps ne veuille pas des mêmes jumeaux à l'autre bout de la corde aurbrilicale, le Dieu de L'Espace? Que toute Création deviendrait tellement dangereuse à cause de cette peur singulière de l'ajout d'une simple négation : "JE NE SUIS PAS"?
Que toute interaction soit une bagatelle d'affirmation sur un loup du néant, et que toute expérience (qui est, tout) née de ce hurlement primaire tomberait en cascade jusqu'à l'écho-besoin d'hologramme, chaque tranche la même sauf pour l'échelle, et toute la magie qui aurait besoin de jaillir juste pour tenir ensemble le vivant, divin croix-but, maintient les supports fait du besoin d'exister (axial, le long de ses doubles rayons de combat, chacun refusant leur point d'origine, qui est, la Tour), terrestons contre chronocules, et à la fin (une fin qui refuse toujours d'avoir lieu) il devient tout un lobotomisé (pour ce qui n'est pas lobal si la dracochorégraphie fait la chair?), reptiles (enroulés), et un dieu-carte massif (tenant une boussole, tenant une pendule), bavant (l'eau à partir de laquelle nous nous sommes arrachés pour dire, comme un miroir, autochtonique, automatique, "NOUS SOMMES, AUSSI") sur ses genoux innombrables, la démence donnant la dimension, dimension démente...
À ce stade toute transcription devient impossible, exceptée par la voie des partitions de musique, une orchestration de ce qui a été tenté durant le règne de NUMINIT, qui, avec tout le monde dans la folie radiale de la symphonie, a été vaporisé par adjacentia. La tenue-vrille adachimelique requise est activée, prévenant la chute de l'Empire. À titre imposthume, l'Amulette des Rois a permit au "Conseil du Cocon" que le sporêve "Et'Ada, Huit Aedras, Mangent le Rêveur" soit immédiatement stocké dans mille huit armes de ravissement cyrodiliennes.
