TESO:Présentation d'un personnage/Dhulef : Différence entre versions

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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(Recopiage du véritable texte, qui était auparavant un copier-coller de la présentation d'Arabelle Davaux et non de Dhulef.)
 
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Une Conversation avec dame Arabelle Davaux
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Dame Lissa,
  
Par Adandora, chroniqueuse itinérante
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L’avez-vous déjà vu ? Le mage fraîchement débarqué à Château Mornard ? Je pense que le comte Mornard envisage de lui offrir la place de nouveau mage de la cour. Son nom est Dhulef et je vous implore de brûler cette lettre après l’avoir lue. Quoi qu’il en soit, il fallait que cela sorte, que je me confie à quelqu’un. Il est tellement séduisant ! Et pas de cette beauté typique de Château Mornard. Il ne donne pas dans la soie parfumée et des moues affectées. Au contraire, il arbore un sourire franc et refuse de suivre la dernière mode. Il s’habille de vêtements pratiques et pourtant, d’une manière ou d’une autre, il parvient quand même à avoir l’air superbe. Avez-vous jamais vu pareille chose ?
  
Une fois de plus, je prends ma plume et mon encre pour tenter d’arracher la vérité à la farouche dame Arabelle Davaux. Si elle sait se montrer charmante, spirituelle, sulfureuse et désarmante, et a également l’agaçante manie de ne pas répondre aux questions de votre chroniqueuse préférée. Peut-être cet entretien sera-t-il différent. Nous verrons bien.
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Il a été pirate. Un véritable pirate ! Pas l’un de ces marins paresseux qui livrent des marchandises de Mornard dans l’archipel et se prennent pour de vrais loups de mer. Il a parcouru tout Tamriel et raconte toutes sortes d’histoires ! La plupart d’entre elles seraient inappropriées à la cour, vous imaginez bien. Ce sont évidemment celles que je préfère. L’autre soir, autour d’un verre de vin, il m’a conté une terrible fable à propos d’un requin dont le ventre était rempli d’oreilles ! De toutes sortes d’oreilles, qui plus est ! J’en tremblais d’horreur, mais à entendre sa voix grave et feutrée, c’est un autre genre de frisson qui m’a parcouru…
  
Pour commencer, un peu de contexte. Arabelle Davaux est née dans une maison noble d’Haltevoie en 2E 527. Sa famille lui apporta la meilleure éducation et tous les privilèges liés à la fortune, mais cela ne lui suffisait pas. Elle s’enfuit de la maison à l’âge de quinze ans et rejoignit un groupe de mercenaires pour défendre Hauteroche contre les envahisseurs crevassais. Ses victoires militaires l’amenèrent à intégrer la Garde du Lion, où elle gagna le grade de capitaine pour commander un escadron d’élite. C’est à cette époque que le roi Émeric d’Haltevoie remarqua pour la première fois Arabelle, et par la suite, devenu haut-roi de l’Alliance de Dagufilante, il la recruta dans son réseau de renseignements, les Dagues.
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Son rire est merveilleux. Il retentit dans les salons comme un coup de tonnerre. Cet endroit aurait bien besoin de plus de bruits de ce genre. Et de plus d’hommes comme Dhulef ! Il ne semble pas se soucier de ce que les gens pensent de lui. Je sais qu’il se dit à voix basse qu’un ex-pirate ne devrait pas être admis à la cour. Certains trouvent cela inconvenant. Apparemment, Dhulef a été pirate la majeure partie de sa vie avant de devenir un mage. Il est membre de la Guilde des Mages, vous savez ! Son passé de pirate est complètement évident, et je ne dis pas cela pour le dénigrer ! Il a ce côté fripon qui le distingue si vivement de la fadeur de la cour. Avec toutes ces délicieuses cicatrices, on voit bien qu'il a vécu une vie riche en aventures et en dangers. Et quand il se déplace dans une pièce, on a l’impression qu’il arpente le pont d’un navire… Quelle assurance ! Quelle allure !
  
Les aventures de dame Arabelle sont dignes des œuvres de fiction les moins tempérées. De fait, d’aucuns (dont je fais partie) sont convaincus que les populaires romans de l’Investigatrice Vale sont non seulement inspirés de ses exploits, mais même qu’elle a signé de sa main ces romans aussi fascinants qu’émoustillants. Des bandits, des pillards, des monstres enragés, des sectes clandestines, elle les a tous vaincus. Et sa vie personnelle semble tout aussi scandaleuse. Elle aurait laissé derrière elle une ribambelle d’amants des deux sexes et de toutes races, un peu partout en Tamriel (et d’après certains, le haut-roi Émeric en personne). Lorsqu’elle atteignit l’âge de cinquante ans, elle quitta le service du roi pour devenir une dame de loisir, parcourant le monde en touriste oisive.
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J’ai cependant pu noter une certaine douceur en lui. J’ai eu le plaisir de parler avec lui non seulement de ses aventures à couper le souffle, mais aussi de son amour de la magie. Il est tellement passionné. Un jour, il s’est même laissé gagner par l’émotion en me racontant comment les druides de Lithérature l’avaient sauvé. Apparemment, c’est cette expérience qui l’a décidé à étudier la magie en premier lieu. C’est sa fascination pour la façon dont la magie peut transformer le monde qui l’entoure qui l’a poussé à abandonner sa vie de pirate. Il a comparé la magie à la mer et a expliqué qu'il aimait le caractère imprévisible et puissant d'une telle force. Il possède un tel esprit, si brillant et si fascinant. Je ne saurais dire si je préférerais qu'il me lise un recueil de sortilèges ou qu’il m’emmène sur un bateau et… hum, je devrais sans doute réserver ce genre de considérations à mon journal intime.
  
Ce dont je doute au plus haut point. Comme l’héroïne que je tiens pour son alter ego romanesque, dame Arabelle continue discrètement d’user de ses différentes expertises pour protéger les peuples de Tamriel, comme en atteste son rôle actuel de chef de la sécurité pour les Inébranlables. Je l’ai rencontrée dans la Baie de Gonfalon, dans sa demeure qu’elle a comme par hasard nommée le « Manoir Mandragore. »
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Je dois dire au comte Mornard à quel point j'approuve sa décision de le nommer à la cour, et qu'il devrait le faire immédiatement ! Dhulef a mentionné lors de notre dernière conversation qu'il partait aider une druidesse nommée Laurel. Je ne suis pas certaine de ce que je ressens à ce sujet, mais cela pourrait bien être une certaine jalousie. Il m'a assuré qu'il reviendrait très vite. Il a même laissé entendre que le comte et lui auraient à discuter à son retour. J'espère que son absence ne durera pas trop longtemps.
  
Chroniqueuse : Arabelle Davaux, quel plaisir de vous revoir. Encore merci d’avoir accepté un nouvel entretien.
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Ai-je mentionné à quel point il est beau ? Superbe, même. Sa chevelure brune est sublime, ses yeux perçants sont splendides, sa mâchoire ciselée est remarquable. Même son visage buriné est somptueux ! Je crois que je suis amoureuse. Je ne crois pas qu'il ait déjà été marié, mais je n'ai pas eu le courage de lui poser la question. Malheureusement, il ne semble pas vraiment intéresser par les affaires du cœur. Ce qui ne veut pas dire que je ne peux pas profiter de la vue ! Dites-moi si vous avez l'occasion de le voir. Il faut que je sache s’il charme tout le monde, ou si je suis la seule à avoir cette réaction.
  
Arabelle : Ma chère, je ne suis pas certaine d’avoir accepté, autant que de m’être sentie contrainte d’intervenir. Cela fait trois jours que vous restez assise devant ma porte, vous avez l’air tout à fait affamée.
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Retenez bien son nom : Dhulef. Je m’attends à de grandes choses de sa part. Pour Galen, pour la Maison Mornard, et si j’ose l’écrire, pour moi-même !
  
Chroniqueuse : Et voilà, vous tentez encore de détourner mon attention en changeant de sujet. Mes lecteurs veulent savoir pourquoi vous avez choisi ce moment précis pour quitter votre retraite.
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Dame Lynielle
 
 
Arabelle : Moi, j’ai changé de sujet ? Je n’avais pas remarqué. Puis-je vous proposer une tasse de thé et un biscuit, très chère ?
 
 
 
Chroniqueuse : Vous recommencez ! Dame Arabelle, pour l’amour du Mundus ! Répondez à ma question !
 
 
 
Arabelle : Calmez-vous, très chère. On dirait cette harpie qui rendait tout le monde fou avec ses hurlements stridents près de Camlorn. J’ai dû l’abattre, je n’avais pas le choix, malheureusement.
 
 
 
Chroniqueuse : Vous ne m’intimiderez pas avec vos menaces grossières, dame Arabelle. Mes lecteurs exigent des réponses, et moi aussi.
 
 
 
Arabelle : Patience, ma chère. Je n’ai jamais remporté le moindre en combat en chargeant tête baissée à l’aveugle. Il faut comprendre le terrain, l’esprit de l’ennemi. Alors seulement peut-on vaincre une force supérieure en nombre. Quant à la Société des Inébranlables, j’admire leur travail depuis le premier jour où j’ai appris leur existence.
 
 
 
Chroniqueuse : Oui, oui. Une organisation fabuleuse. Tout le monde connaît leurs programmes d’aide. Ils apportent secours et réconfort aux populations déplacées ou affectées par la guerre des Trois étendards, ils distribuent de l’eau et des vivres, et installent des pavillons médicaux pour traiter les blessés, qu’il s’agisse de soldats ou de civils pris dans les combats. Mais pourquoi vous ont-ils engagée, vous ?
 
 
 
Arabelle : Comme vous le faites si volontiers remarquer, je possède une certaine réputation. Le seigneur Bacaro a actuellement besoin d’une personne dotée de mes compétences et capacités uniques. C’est pour une bonne cause, je n’ai pas pu refuser.
 
 
 
Chroniqueuse : Mais pourquoi une organisation humanitaire philanthropique a-t-elle besoin d’une ancienne soldate, espionne, et créatrice de solutions en tous genres ?
 
 
 
Arabelle : Eh bien, très chère, le seigneur Bacaro saurait sans doute mieux que moi vous expliquer son raisonnement.
 
 
 
Chroniqueuse : Oui, le seigneur Bacaro Volorus, le riche noble philanthrope qui a créé et supervise la Société des Inébranlables. A-t-il vraiment invité des personnalités importantes de tout Tamriel à une conférence sur l’Île-Haute ? Et vous a-t-il engagé pour assurer lesdites personnalités ?
 
 
 
Arabelle : Oh, ç’aurait tout à fait été dans mes cordes, lorsque j’étais jeune. Mais je suis à la retraite, ma chère. Je croyais que nous avions commencé par là.
 
 
 
Chroniqueuse : Mes Dieux ! Vous tergiversez tant que j’en attrape le tournis !
 
 
 
Arabelle : Pardonnez-moi, mon chou, mais vous n’êtes pas mon type. Ce qui est étrange, parce qu’en général, tout le monde est mon type.
 
 
 
Chroniqueuse : Si vous refusez de révéler ce que vous faites vraiment pour la Société des Inébranlables, revenons à l’autre mystère. Avouez que vous êtes l’auteure des romans de l’Investigatrice Vale !
 
 
 
Arabelle : Vous avez lu le dernier ? Je n’ai pas pu le lâcher. Et cette fin ! Fantastique !
 
 
 
Chroniqueuse : Ah, voilà ! Vous avez avoué !
 
 
 
Arabelle : Vraiment ? Et quel crime ai-je avoué, cette fois ? Je ne faisais pas attention.
 
 
 
Chroniqueuse : Dame Arabelle, mes lecteurs exigent…
 
 
 
Arabelle : Vous m’en voyez navrée, mais c’est tout le temps que je pouvais vous consacrer ce soir. Écrivez ce qui vous semble juste, très chère. Je dois retrouver l’un des guérisseurs de la société pour une collation tardive. On m’a dit qu’il faisait des merveilles au chevet de ses patientes.
 
 
 
Chroniqueuse : Vous savez tout, fidèles lecteurs. Une nouvelle série de distractions et de dissimulations de la notoire dame Arabelle Davaux. Je vous promets de continuer de harceler cette femme jusqu’à ce qu’elle me révèle la vérité sur cette conférence, et son lien exact avec les romans de l’Investigatrice Vale. Vous avez ma promesse !
 
  
 
[[Catégorie:Contenu Web]]
 
[[Catégorie:Contenu Web]]
 
[[en:TESO:Meet the character/Dhulef]]
 
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Version actuelle datée du 6 janvier 2023 à 18:02

Date de publication : 09/08/2022



Presentation Dhulef.jpg Dame Lissa,

L’avez-vous déjà vu ? Le mage fraîchement débarqué à Château Mornard ? Je pense que le comte Mornard envisage de lui offrir la place de nouveau mage de la cour. Son nom est Dhulef et je vous implore de brûler cette lettre après l’avoir lue. Quoi qu’il en soit, il fallait que cela sorte, que je me confie à quelqu’un. Il est tellement séduisant ! Et pas de cette beauté typique de Château Mornard. Il ne donne pas dans la soie parfumée et des moues affectées. Au contraire, il arbore un sourire franc et refuse de suivre la dernière mode. Il s’habille de vêtements pratiques et pourtant, d’une manière ou d’une autre, il parvient quand même à avoir l’air superbe. Avez-vous jamais vu pareille chose ?

Il a été pirate. Un véritable pirate ! Pas l’un de ces marins paresseux qui livrent des marchandises de Mornard dans l’archipel et se prennent pour de vrais loups de mer. Il a parcouru tout Tamriel et raconte toutes sortes d’histoires ! La plupart d’entre elles seraient inappropriées à la cour, vous imaginez bien. Ce sont évidemment celles que je préfère. L’autre soir, autour d’un verre de vin, il m’a conté une terrible fable à propos d’un requin dont le ventre était rempli d’oreilles ! De toutes sortes d’oreilles, qui plus est ! J’en tremblais d’horreur, mais à entendre sa voix grave et feutrée, c’est un autre genre de frisson qui m’a parcouru…

Son rire est merveilleux. Il retentit dans les salons comme un coup de tonnerre. Cet endroit aurait bien besoin de plus de bruits de ce genre. Et de plus d’hommes comme Dhulef ! Il ne semble pas se soucier de ce que les gens pensent de lui. Je sais qu’il se dit à voix basse qu’un ex-pirate ne devrait pas être admis à la cour. Certains trouvent cela inconvenant. Apparemment, Dhulef a été pirate la majeure partie de sa vie avant de devenir un mage. Il est membre de la Guilde des Mages, vous savez ! Son passé de pirate est complètement évident, et je ne dis pas cela pour le dénigrer ! Il a ce côté fripon qui le distingue si vivement de la fadeur de la cour. Avec toutes ces délicieuses cicatrices, on voit bien qu'il a vécu une vie riche en aventures et en dangers. Et quand il se déplace dans une pièce, on a l’impression qu’il arpente le pont d’un navire… Quelle assurance ! Quelle allure !

J’ai cependant pu noter une certaine douceur en lui. J’ai eu le plaisir de parler avec lui non seulement de ses aventures à couper le souffle, mais aussi de son amour de la magie. Il est tellement passionné. Un jour, il s’est même laissé gagner par l’émotion en me racontant comment les druides de Lithérature l’avaient sauvé. Apparemment, c’est cette expérience qui l’a décidé à étudier la magie en premier lieu. C’est sa fascination pour la façon dont la magie peut transformer le monde qui l’entoure qui l’a poussé à abandonner sa vie de pirate. Il a comparé la magie à la mer et a expliqué qu'il aimait le caractère imprévisible et puissant d'une telle force. Il possède un tel esprit, si brillant et si fascinant. Je ne saurais dire si je préférerais qu'il me lise un recueil de sortilèges ou qu’il m’emmène sur un bateau et… hum, je devrais sans doute réserver ce genre de considérations à mon journal intime.

Je dois dire au comte Mornard à quel point j'approuve sa décision de le nommer à la cour, et qu'il devrait le faire immédiatement ! Dhulef a mentionné lors de notre dernière conversation qu'il partait aider une druidesse nommée Laurel. Je ne suis pas certaine de ce que je ressens à ce sujet, mais cela pourrait bien être une certaine jalousie. Il m'a assuré qu'il reviendrait très vite. Il a même laissé entendre que le comte et lui auraient à discuter à son retour. J'espère que son absence ne durera pas trop longtemps.

Ai-je mentionné à quel point il est beau ? Superbe, même. Sa chevelure brune est sublime, ses yeux perçants sont splendides, sa mâchoire ciselée est remarquable. Même son visage buriné est somptueux ! Je crois que je suis amoureuse. Je ne crois pas qu'il ait déjà été marié, mais je n'ai pas eu le courage de lui poser la question. Malheureusement, il ne semble pas vraiment intéresser par les affaires du cœur. Ce qui ne veut pas dire que je ne peux pas profiter de la vue ! Dites-moi si vous avez l'occasion de le voir. Il faut que je sache s’il charme tout le monde, ou si je suis la seule à avoir cette réaction.

Retenez bien son nom : Dhulef. Je m’attends à de grandes choses de sa part. Pour Galen, pour la Maison Mornard, et si j’ose l’écrire, pour moi-même !

Dame Lynielle