De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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| La Ra Gada ou « Vague des guerriers » des colons yokudans est en réalité constituée de quatre vagues successives au neuvième siècle de la Première Ère. Ce catalogue se concentre sur la deuxième vague, dite « Tavane » car elle était commandée par la brigade des Métropoles de Hattu, adoratrice de sainte Tava, Dame de l’Air. Ainsi les armes et armures des Tavans sont-elles riches d’images aviaires. Cette deuxième vague s’est essentiellement installée sur la côte sud de Martelfell, et près de trois millénaires plus tard, on trouve encore leurs bâtiments dans les dunes côtières. Point besoin de chercher très loin pour retrouver l’influence de ces antiques colons sur la société rougegarde moderne. | | La Ra Gada ou « Vague des guerriers » des colons yokudans est en réalité constituée de quatre vagues successives au neuvième siècle de la Première Ère. Ce catalogue se concentre sur la deuxième vague, dite « Tavane » car elle était commandée par la brigade des Métropoles de Hattu, adoratrice de sainte Tava, Dame de l’Air. Ainsi les armes et armures des Tavans sont-elles riches d’images aviaires. Cette deuxième vague s’est essentiellement installée sur la côte sud de Martelfell, et près de trois millénaires plus tard, on trouve encore leurs bâtiments dans les dunes côtières. Point besoin de chercher très loin pour retrouver l’influence de ces antiques colons sur la société rougegarde moderne. |
Version actuelle datée du 21 juillet 2018 à 10:16
La Ra Gada ou « Vague des guerriers » des colons yokudans est en réalité constituée de quatre vagues successives au neuvième siècle de la Première Ère. Ce catalogue se concentre sur la deuxième vague, dite « Tavane » car elle était commandée par la brigade des Métropoles de Hattu, adoratrice de sainte Tava, Dame de l’Air. Ainsi les armes et armures des Tavans sont-elles riches d’images aviaires. Cette deuxième vague s’est essentiellement installée sur la côte sud de Martelfell, et près de trois millénaires plus tard, on trouve encore leurs bâtiments dans les dunes côtières. Point besoin de chercher très loin pour retrouver l’influence de ces antiques colons sur la société rougegarde moderne.
- Haches
- Les guerriers tavans maniant la hache mettaient l’accent sur la « Fente unique », une attaque censée fendre un ennemi en deux d’un seul coup. En conséquence, ces haches ra gada ne comportent qu’une seule lame, très importante.
- Ceintures
- La ceinture est le lien centrale d’une gaine bien plus large, qui apportait une couche de protection supplémentaire à l’abdomen et aux riens des Ra Gada. La grosse boucle ronde est embossée de symboles de courants d’air
- Bottes
- Les bottes ra gada sont façonnées en cuir lourd, généralement de chameau, avec d’épaisses semelles pour protéger contre la chaleur du sable et des pierres. Les orteils relevés traditionnelles dissimulent des coques en métal pour protéger les pieds du soldat.
- Arcs
- D’un motif agressivement aviare, l’arc des Ra Gada porte deux têtes d’ibis qui peuvent servir d’instrument de parade pendant le combat. C’est un arc composite, et toute la façade est couverte de corne, souvent peinte d’une couleur métallique.
- Plastrons
- Les Ra Gada étaient des épéistes, et leur cuirasse était solide pour permettre aux combattants d’encaisser des coups. Elles sont couvertes de motifs bouclés de courants d’air, et la plupart portent les inimitables ailes tavanes dans le dos.
- Dagues
- Les dagues de la Ra Gada tavane reproduisent la courbure des épées. Les Tavans n’utilisaient pas les dagues pour parer, préférant employer un bouclier, aussi leur dague est-elle dénuée de garde. Mais elle est lestée pour le jet.
- Gants
- Les guerriers ra gada, notamment ceux qui manient des armes à deux mains, sont entraînés à parer avec leur avant-bras très renforcé plutôt qu’avec la garde de leur arme. Leurs gants sont donc en l’essence des gantelets lourds qui laissent les doigts libres pour la manipulation.
- Casques
- La coiffe des Rougegardes tavans était généralement un turban autour d’une calotte de fer, généralement embossée des symboles quasi-universels de courant d’air. Le visage était protégé par des oreillères et une pièce sur la bouche, autant pour intimider les ennemis que pour repousser les vents de sable.
- Jambières
- Une armure raide et solide protège le tibia, écho par la forme et la fonction des gantelets renforcés. Des couches de cuir lourd couvrent le mollet.
- Masses
- Les masses ra gada sont conçues pour éliminer les adversaires bien protégés. Leur tête est donc lourde et hérissée de pointes pour écraser et percer les armures. Le poids de ces armes imposa le développement du style du « Coup final », similaire à la « Fente unique » inventée pour le combat à la hache.
- Boucliers
- Les boucliers ra gada sont larges et lourds pour offrir une protection maximale, non seulement pour le porteur mais aussi, au besoin, pour son allié le plus proche. Outre le symbole de courant d’air habituel le bas du bouclier est travaillé pour évoquer la queue large d’un faucon.
- Épaulières
- Les épaulettes « pagodes » des Ra Gada sont très typiques, mais les trois coques successives sont moins rigides qu’il n’y paraît : elles sont articulées, et suivent donc le mouvement du bras.
- Bâtons
- Les lanceurs de sorts ra gada garnissaient souvent leur bâton de crêtes métalliques adoptant la forme de l’ibis sacré de Tu’whacca, puisque le Dieu farceur était (et reste) le saint patron des mages. Les Rougegardes sont aujourd’hui connus pour leur méfiance envers la magie, mais tel ne fut pas toujours le cas.
- Épées
- Les Tavans provenaient de la tradition épéiste yokudane imposant de n’affûter qu’un seul bord de la lame, le dos pouvant donc être plus épais et plus solide. Cela donne aux épées recourbées ra gada, à une comme à deux mains, le poids nécessaire pour trancher une cible d’un seul coup, et les attaques en un seul mouvement ont toujours été saluées par les Rougegardes comme l’épitomé de l’élégance martiale.
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