Journal de Dar Ma : Différence entre versions
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Je suis arrivée à Coupeterre à la nuit tombée, Fleur ayant perdu un fer en chemin -- la route était VRAIMENT mauvaise ! C’est à peine si j’ai vu les traces de roues d’une carriole. Personne ne vient donc ici ?!<br> | Je suis arrivée à Coupeterre à la nuit tombée, Fleur ayant perdu un fer en chemin -- la route était VRAIMENT mauvaise ! C’est à peine si j’ai vu les traces de roues d’une carriole. Personne ne vient donc ici ?!<br> |
Version du 1 septembre 2006 à 14:36
[Il s’agit visiblement du journal d’une jeune Argonienne appelée Dar-Ma. Son journal mentionne des événements personnels, mais mondains, de sa vie à Chorrol. La seule page intéressante est la dernière, que voici :]
Je suis arrivée à Coupeterre à la nuit tombée, Fleur ayant perdu un fer en chemin -- la route était VRAIMENT mauvaise ! C’est à peine si j’ai vu les traces de roues d’une carriole. Personne ne vient donc ici ?!
La boutique de la marchande était fermée. Elle n’a pas ouvert sa porte, bien qu’il y ait eu de la lumière à l’étage. Quelle GROSSIERETE !!! Mais heureusement, l’auberge était ouverte (le tenancier était assez effrayant -- il me jetait d’étranges oeillades quand il croyait que je ne le regardais pas -- bouh). Quel drôle de visage !
On dirait bien que je suis la seule à passer la nuit ici. Je n’ai pas vraiment vu la ville, il faisait déjà nuit. Mais j’ai peur. Enfin, je ne l’avouerai jamais à ma mère ! Ou elle ne me chargera jamais plus de ces livraisons. Elle me prend pour une enfant (elle serait capable de m’appeler "mon petit oisillon"… même devant mes amis !) Il faut que je l’interroge sur cet étrange aubergiste, quand je rentrerai.
Bon… la bougie est presque consumée (on ne fournit même pas de lanterne, dans cette horrible auberge !)… Il vaut mieux que j’aille me reposer. Si j’y arrive, dans cette vieille bâtisse grinçante ! J’ai l’impression d’entendre des bruits de pas, dehors. Je suis sur les nerfs. Il serait temps de grandir, Dar ! Je suis sûre que demain matin, le quartier me semblera tout à fait charmant. Bonne nuit, mon journal !