TESA:Redguard/Cinématiques/Cyrus retrouve Iszara

Commentaire : Video VOSTFR Par Bethesda Softworks Iszara : Où suis-je ? Cyrus : Tu es en sécurité, Iszara. Iszara : C'est toi ? Cyrus : J'en ai bien peur. Iszara : Où est N'Gasta ? Est-il mort ? Où est la gemme spirituelle ? Cyrus : Iszara, je... Iszara : Je... je dois retourner à la Ligue. Cyrus : Mais... Iszara : Qu'est-ce que j'ai fait ? Cyrus : Iszara ! Iszara : Tu viens, oui ou non ? * * * Yaeli : Déjà rattrapé, hein ? Cyrus : La ferme. Cyrus : Iszara... Iszara : Comptes-tu rester cette fois ? Cyrus : Oui. Iszara : Parce que tu pourrais t'enfuir de nouveau. Cyrus : Oui. Iszara : Ce n'était pas ta guerre alors. Cyrus : Non. Iszara : Et ce n'est pas ta guerre maintenant. Cyrus : Non. Iszara : Et si tu t'attends à quoi que ce soit de mieux maintenant, tu peux aller au diable. * * * Basil : Ha... génial, Iszara. Iszara : Arrête ton cinéma. Même en ayant encore la gemme spirituelle nous en serions au même point. Vous vous cacheriez encore dans cette grotte et Richton serait toujours dans le Palais de notre Prince. Basil : Il y a une différence entre se cacher de l'Empire et attendre le bon moment. Iszara : Nous perdons du temps. Basil : Tu as perdu la gemme spirituelle ! On fait quoi maintenant, petite ? Cyrus : Je sais où elle est. Basil : Ah ouais ? Cyrus : Richton a la gemme spirituelle. Basil : Tu l'as vu avec ? Cyrus : Je la lui ai donnée. Iszara : Comment as-tu pu... Cyrus : Je ne savais pas ce que c'était. Le Nécromancien l'avait introduite dans une amulette, un cadeau fabriqué pour le Gouverneur. Il avait besoin de quelqu'un pour la livrer. Je l'ai fait, pensant que ça m'amènerait jusqu'à toi. Basil : Mon coeur vient de se briser. Le tien aussi ? Vander : Un million de morceaux. Cyrus : Il nous faudra juste le récupérer. Basil : Nous nous ferons tuer dès que nous poserons pied sur la côte. Iszara : Cyrus a raison. Cyrus : Quel intérêt y a-t-il à être condamnés en tant que rebelles armés si nous ne soulevons jamais ces armes face à l'Empire ? Basil : Nous ? Cyrus : Je te parle, Basil, alors écoute-moi bien. Que ça te plaise ou non, je suis de la partie maintenant, jusqu'à la fin. Basil : Je n'enverrai pas mes hommes à Stros M'Kai, gemme spirituelle perdue ou pas. Martelfell a besoin de nous vivants. Cyrus : À quoi sers-tu, Basil, si tu n'accomplis rien ? As-tu peur de verser un peu de sang ? Iszara : C'est parti. Basil : Tu parles noblement de répandre du sang qui n'est pas le tien, Cyrus. Au sein de la Ligue, nous faisons ce que nous pouvons, même cachés. Nous sommes des pirates, mon gars, la plus pure des formes d'insurrection : on vole, on piège, on tranche des gorges dans le dos. Nous sommes les épines toujours présentes, qui forcent chaque camp à rester sur ses gardes, réduisant toute inertie avec la nôtre. Nos raids forcent l'Empereur à établir une garnison à Stros M'Kai, et retiennet des bateaux et des hommes ici. Et notre piraterie frappe Richton où ça compte... Dans sa bourse d'or. S'il ne peut presser cette province pour arroser l'Empereur des profits qu'il demande, sa tête roulera. Cyrus : N'oublie pas le Dragon, Basil. Parce que c'est ça la chose que tu crains vraiment, n'est-ce pas ? La Bataille de Stros M'Kai était ouverte jusqu'à ce que le Gouverneur appelle son Dragon, pas vrai ? Basil : Eh bien, il y a aussi ça, oui. Cyrus : Je me chargerai du Dragon. Basil : Quel homme. Vander : Je peux tâter ton biceps ? Iszara : Richton fait probablement garder la gemme spirituelle par le Dragon dans les Salles du Trésor du Palais. Cyrus : Où sont-elles ? Iszara : Tu peux y accéder à partir des Catacombes, mais il te faudra une clé. Cyrus : Comment sais-tu cela ? Basil : Le Prince et ta soeur étaient de bons amis, Cyrus. Les Salles du Trésor ont été ses chambres à bijoux. Cyrus : J'en ai assez de tes cancans, Basil ! Je vais trouver la gemme, et ensuite je trouverai quelqu'un qui ramènera le Prince ! Quand ce sera fait, devrai-je lui dire qu'il peut compter sur ton aide ou non ? Basil : Je m'attends à ce que tu aies autant de succès que ta soeur, Cyrus. Tu peux difficilement faire pire. Iszara : Je t'accompagnerai. Cyrus : Tu es encore trop faible. Écoute, je me suis assez bien débrouillé jusqu'ici. Je peux en finir. Pour toi. Iszara : Pour Martelfell. Cyrus : D'accord. Pour Martelfell. Cyrus : Quand j'aurai la gemme spirituelle et quelqu'un qui peut briser sa magie... Cyrus : Que devrai-je faire ? Iszara : Envoie-nous le signal et nous nous retrouverons au Temple. Frère Nidal y a caché le corps de A'Tor. Basil : Rougegarde. Basil : Quand tu as le Prince, tu as ses hommes. * * * Iszara : Je devrais t'aider. Cyrus : Tu es trop connue sur l'ile. Les Impériaux... Iszara : Je suis capable de m'occuper d'eux. Cyrus : Et tu le feras. Après le temple. Je ne te décevrai pas. Pas comme la dernière fois. Iszara : Écoute. Soyons clairs. Tu as assassiné mon mari, et pris la fuite. En un jour tu m'as pris les deux êtres que j'aimais le plus et à qui je faisais le plus confiance dans le monde entier. Hakan n'était pas un bon époux, mais tu n'étais pas, et n'es pas, apte à le juger. Pas plus que je ne suis apte à te juger. Tu es coupable dieux savent de combien de crimes et de cruautés, et parmi les pires ceux infligés à ta propre chair et ton sang. Cependant... malgré tout le mal que tu m'as fait, je te pardonne. Tu es mon sang, mon petit frère, et je ne peux en faire moins. Mais si tu prends les affaires de la Guilde à la légère, et le destin de Martelfell et son peuple avec, puis t'enfuis comme tu l'as fait la dernière fois, je te retrouverai. Tu es un enfant charmant, vaniteux et égocentrique, tu ne penses à personne d'autre qu'à toi-même et à ton propre intérêt... Mais si tu te lances dans ce truc, tu en verras la fin... Ou je te tuerai. Cyrus : Je vais trouver cette gemme spirituelle. Et je ramènerai ton Prince. Iszara. Je sais ce que tu penses de moi. Je ne suis pas fier de ce que j'ai été. Mais quelque chose... est en train de se passer ici, et je... je ne sais pas vraiment ce que j'essaye de dire, mais... Iszara : Alors ne dis rien. Je ne suis pas intéressée par tes mots, Cyrus. C'est assez de savoir que tu es là. Il me faudra juste croire que tu resteras quand j'aurai besoin de toi. Cyrus : Je finirai ceci.