36 Leçons de Vivec, 6e Sermon : Différence entre versions

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Version actuelle datée du 19 avril 2015 à 20:45

Auteur réel : Michael Kirkbride
Média d'origine : TES 3 : Morrowind

Par Vivec



Tu as découvert le sixième sermon de Vivec, qui était caché dans les paroles dites à l'Hortator.

Il existe une éternité en soi qui, une fois démêlée, devient la première phrase du mot.

Méphala et Azura sont les portes jumelles de la tradition et Boéthia en est le feu sacré.

Le soleil finira dévoré par les lions, qui n'existent pas encore en Véloth.

Six sont les habits et vêtements portés par les suppositions des hommes.

Ne fais confiance qu'aux termes les plus simples qui soient, tous les autres étant des ennemis qui ne t'apporteront que confusion.

Six sont les formules envoyées au ciel par la violence, dont une que tu as apprise en étudiant ces mots.

Le Père est une machine et son orifice. Son unique mystère prend la forme d'une invitation à élaborer davantage.

La Mère est active et dotée de griffes comme un chien de Nix, et pourtant elle est la plus sainte de ceux qui revendirent leur existence.

Le Fils n'est autre que moi-même, Vehk, et je suis trois, six, neuf, et ainsi de suite, glorieux et compatissant, sans limite, représentation absolue des perfections de ce monde et des autres, épée et symbole, pâle comme l'or.

Il existe un quatrième type de philosophie qui ne s'appuie que sur le refus de croire.

Car, par l'épée, je veux dire le censé.

Car, par les mots, je veux dire les morts.

Je suis Vehk, ton protecteur et celui du mont Ecarlate jusqu'à la fin des temps, qui viendront au 3 333e jour.

En dessous de moi est le sauvage, dont nous avions besoin pour nous séparer des Aldmers.

Au-dessus de moi est le défi, qui se baigne dans le feu et l'essence d'un dieu.

A travers moi, tu es désiré, contrairement aux prophètes qui ont porté ton nom avant toi.

Six sont les voies, de l'énigme à l'ennemi, en passant par le maître.

Boéthia et Azura sont les principes du scénario universel, qui est naissance et création, et que Méphala transforme en art.

Car, par l'épée, je veux dire la première nuit.

Car, par les mots, je veux dire les morts.

Ton nom sera splendeur quand il sera reconnu comme vrai.

Six sont les gardiens de Véloth, trois avant et renaissants, qui te testeront jusqu'à ce que tu montres les vertus du vrai héros.

Il existe un monde qui dort et tu dois t'en protéger.

Car, par l'épée, je veux dire la dualité.

Car, par les mots, je veux dire la vie des animaux.

Car, par l'épée, je veux dire précédé d'un soupir.

Car, par les mots, je veux dire précédé d'un loup.




Les mots s'arrêtent à ALMSIVI.