Réflexions libres d'un Astromancien : Différence entre versions
(Page créée avec « {{Book|developpeur=|auteur=|titre auteur=|date= |source=TES Online|commentaire=|resume=|sous titre=|auteurIRL=|dateIRL=|langue=}} Le tombeau du guerrier ancestral ! ... ») |
m |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
− | {{Book|developpeur=|auteur=|titre auteur=|date= |source=[[TES Online]]|commentaire=|resume=|sous titre=|auteurIRL=|dateIRL=|langue=}} | + | {{Book|developpeur=|auteur=Anonyme|titre auteur=|date= |source=[[TES Online]]|commentaire=|resume=|sous titre=|auteurIRL=|dateIRL=|langue=}} |
− | |||
− | |||
Le tombeau du guerrier ancestral ! Enfin ! Enfin ! Les vrais dieux ne se taisent pas. Les vrais dieux chantent à nos oreilles, si nous savons les entendre. | Le tombeau du guerrier ancestral ! Enfin ! Enfin ! Les vrais dieux ne se taisent pas. Les vrais dieux chantent à nos oreilles, si nous savons les entendre. | ||
Ligne 10 : | Ligne 8 : | ||
Nous ne maîtrisons pas la vérité. C'est elle qui nous domine. En fin de compte, en cette dernière heure de ma vie, j'ai appris à servir. La fin du savoir n'est pas connaissance, mais adoration. Oh grand Guerrier, je couche mon cadavre à tes pieds. | Nous ne maîtrisons pas la vérité. C'est elle qui nous domine. En fin de compte, en cette dernière heure de ma vie, j'ai appris à servir. La fin du savoir n'est pas connaissance, mais adoration. Oh grand Guerrier, je couche mon cadavre à tes pieds. | ||
− | [[Catégorie : Livres | + | [[Catégorie : Livres]] |
+ | [[Catégorie: Livre : Journaux]] | ||
+ | |||
+ | [[en:A star-gazer's ramblings]] |
Version actuelle datée du 14 octobre 2014 à 15:46
Média d'origine : TES Online
Par Anonyme
Le tombeau du guerrier ancestral ! Enfin ! Enfin ! Les vrais dieux ne se taisent pas. Les vrais dieux chantent à nos oreilles, si nous savons les entendre. J'avais cru mon étude purement académique. Imbécile naïf. La conviction que le savoir entraîne le savoir en procession ordonnée, tel un cortège funéraire… j'allais étouffer. J'ai dit : « La mort est inévitable, et la vie indistincte de la mort. » Comme j'avais tort. Comment ai-je pu regarder tant de fois les étoiles et ne voir que la lumière ? Oh, délice, je n'en puis plus. Nous ne maîtrisons pas la vérité. C'est elle qui nous domine. En fin de compte, en cette dernière heure de ma vie, j'ai appris à servir. La fin du savoir n'est pas connaissance, mais adoration. Oh grand Guerrier, je couche mon cadavre à tes pieds. |