Bravil : fille Niben : Différence entre versions
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− | + | {{Book |developpeur= |sous titre= |auteur=Sathyr Longleat |titre auteur= |date= |source=[[TES 4 : Oblivion]] |commentaire=Apparaît dans [[TES Online]] en deux volumes sous le titre "Bravil", avec une traduction française différente. |style=|langue=}} | |
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Bravil est l'une des villes les plus charmantes de Cyrodiil, une ville à la beauté simple et au passé illustre. On ne peut pas visiter la partie sud de la Province impériale sans flâner sur le superbe port intérieur de Bravil, parler à ses habitants joviaux et, bien sûr, dans la tradition du village, murmurer quelques mots à la célèbre statue de la Vieille dame chanceuse.<br> | Bravil est l'une des villes les plus charmantes de Cyrodiil, une ville à la beauté simple et au passé illustre. On ne peut pas visiter la partie sud de la Province impériale sans flâner sur le superbe port intérieur de Bravil, parler à ses habitants joviaux et, bien sûr, dans la tradition du village, murmurer quelques mots à la célèbre statue de la Vieille dame chanceuse.<br> | ||
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− | Plusieurs milliers d'années avant l'arrivée des Atmorans, le peuple ayléide indigène vivait depuis longtemps aux alentours de la Bravil que nous connaissons de nos jours. La Niben fournissait alors déjà nourriture et transport, et le village comptait encore plus d'habitants qu'aujourd'hui. Nous ne savons pas exactement de quelle façon ils appelaient leur région : c'était des insulaires, mais ils se servaient d'un mot que l'on peut traduire par "maison". Ces Ayléides sauvages étaient tellement retranchés que la région de Bravil fut l'une des dernières à être libérée par l'armée alessienne au second siècle de la | + | Plusieurs milliers d'années avant l'arrivée des Atmorans, le peuple ayléide indigène vivait depuis longtemps aux alentours de la Bravil que nous connaissons de nos jours. La Niben fournissait alors déjà nourriture et transport, et le village comptait encore plus d'habitants qu'aujourd'hui. Nous ne savons pas exactement de quelle façon ils appelaient leur région : c'était des insulaires, mais ils se servaient d'un mot que l'on peut traduire par "maison". Ces Ayléides sauvages étaient tellement retranchés que la région de Bravil fut l'une des dernières à être libérée par l'armée alessienne au second siècle de la Première Ère. Même s'il ne reste pas grand chose de cette ère d'un point de vue culturel ou archéologique, grâce à Mara, les histoires de débauche et de dépravation sont devenues légendes.<br> |
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Les érudits ne savent toujours pas comment les Ayléides ont pu survivre à un siège aussi long. Ils sont en revanche tous d'accord sur le fait que la victoire peut être attribuée à l'un des centurions de l'impératrice Alessia, un homme du nom de Teo Bravillius Tasus. C'est de lui que la ville d'aujourd'hui tire son nom.<br> | Les érudits ne savent toujours pas comment les Ayléides ont pu survivre à un siège aussi long. Ils sont en revanche tous d'accord sur le fait que la victoire peut être attribuée à l'un des centurions de l'impératrice Alessia, un homme du nom de Teo Bravillius Tasus. C'est de lui que la ville d'aujourd'hui tire son nom.<br> | ||
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Une semaine plus tard, un prince impérial arriva à Bravil dans un attelage somptueux. Il s'agissait en fait du jeune homme qu'elle avait aidé. Il lui présenta de plates excuses pour son apparence et son comportement et lui expliqua qu'il avait été kidnappé et maudit par un groupe de sorcières, et qu'il n'avait pas alors toute sa raison. La Dame fut alors couverte de richesses qu'elle partagea avec tous les habitants de Bravil, où elle vécut très longtemps.<br> | Une semaine plus tard, un prince impérial arriva à Bravil dans un attelage somptueux. Il s'agissait en fait du jeune homme qu'elle avait aidé. Il lui présenta de plates excuses pour son apparence et son comportement et lui expliqua qu'il avait été kidnappé et maudit par un groupe de sorcières, et qu'il n'avait pas alors toute sa raison. La Dame fut alors couverte de richesses qu'elle partagea avec tous les habitants de Bravil, où elle vécut très longtemps.<br> | ||
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− | Personne ne sait quand la statue fut érigée sur la place de la ville, ou qui la construisit, mais cela fait des milliers d'années qu'elle s'y trouve, depuis la | + | Personne ne sait quand la statue fut érigée sur la place de la ville, ou qui la construisit, mais cela fait des milliers d'années qu'elle s'y trouve, depuis la Première Ère. Depuis, les visiteurs et les habitants de la ville se rendent devant la statue de la Vieille dame chanceuse pour lui demander chance et bénédiction.<br> |
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+ | Un autre aspect charmant du joli et très chanceux village de Bravil. | ||
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+ | [[en:Bravil, daughter of the Niben]] | ||
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+ | [[Catégorie:Livres]] | ||
+ | [[Catégorie:Livre : Histoire et Biographies]] |
Version actuelle datée du 27 mars 2017 à 13:20
Média d'origine : TES 4 : Oblivion Commentaire : Apparaît dans TES Online en deux volumes sous le titre "Bravil", avec une traduction française différente.
Par Sathyr Longleat
Bravil est l'une des villes les plus charmantes de Cyrodiil, une ville à la beauté simple et au passé illustre. On ne peut pas visiter la partie sud de la Province impériale sans flâner sur le superbe port intérieur de Bravil, parler à ses habitants joviaux et, bien sûr, dans la tradition du village, murmurer quelques mots à la célèbre statue de la Vieille dame chanceuse. |