Journal d'Eau Dormante : Différence entre versions
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Je ne peux plus trop tarder. Drashi a raison. Il faut aller vers l'intérieur des êtres. Deshaan, ou descendre dans les marais de ma patrie. Trop de cendres dans l'air. Des bruits de combat à l'horizon. Les Trois bannières sont arrivées aux Éboulis, et les indépendants comme nous n'ont plus leur place. Dommage. Je me plaisais bien, ici. | Je ne peux plus trop tarder. Drashi a raison. Il faut aller vers l'intérieur des êtres. Deshaan, ou descendre dans les marais de ma patrie. Trop de cendres dans l'air. Des bruits de combat à l'horizon. Les Trois bannières sont arrivées aux Éboulis, et les indépendants comme nous n'ont plus leur place. Dommage. Je me plaisais bien, ici. | ||
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Version du 20 septembre 2014 à 16:32
Média d'origine : TES Online
Par Eau Dormante
Je ne peux plus trop tarder. Drashi a raison. Il faut aller vers l'intérieur des êtres. Deshaan, ou descendre dans les marais de ma patrie. Trop de cendres dans l'air. Des bruits de combat à l'horizon. Les Trois bannières sont arrivées aux Éboulis, et les indépendants comme nous n'ont plus leur place. Dommage. Je me plaisais bien, ici. - - - - - - - - - - - - - - - - Shuldrashi et moi sommes bien installés dans les Terres de cendres. Il y a toujours un sacré numéro qui arrive de derrière les champignons ou de sous un volcan. Elle s'occupe des Dunmers des maisons, et moi des Cendrais. Ça rapport bien, et on va où on veut. Pourvu que ça dure. - - - - - - - - - - - - - - - - Les étendues sauvages, ça me va bien. Mais ça a l'air de lui plaire aussi. Je n'aurais jamais cru m'associer avec une Elfe Noire, mais elle a l'air de me respecter. Shuldrashi ne pose pas de questions. Elle ne donne pas d'ordres. Elle fait son travail, point. Il y a des jours où on ne se parle pas du tout pendant des heures. Elle est un peu comme le vent. - - - - - - - - - - - - - - - - Ça fait des années que je me suis soustrait au joug de la maison Drès. Et mes cicatrices me brûlent encore. Le jour où j'ai appris ce que je valais pour mon maître. Ce que je valais pour un Elfe Noir. J'écoutais le vent, la nuit, espérant contre tout espoir qu'il allait m'emporter. Le jour où je me suis échappé, j'ai pris la dague. Celle avec laquelle il m'avait coupé. Tant que je vivrai, elle m'empêchera d'oublier. Je ne dois pas oublier. |