Le Jabot de dessèchement : Différence entre versions
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− | Ils avaient des moyens plus ordinaires d'assécher un [[Saxhleel]]. Ils nous enfermaient dans des cages, au soleil d'été. Mais pendant les jours de pluie, ou lorsque la brume s'abattait sur les îles, ils nous forçaient à porter ceci. Nous attachaient les mains pour nous empêcher de le retirer. En attendant que le plastron fasse effet. | + | Ils avaient des moyens plus ordinaires d'assécher un [[Argonien|Saxhleel]]. Ils nous enfermaient dans des cages, au soleil d'été. Mais pendant les jours de pluie, ou lorsque la brume s'abattait sur les îles, ils nous forçaient à porter ceci. Nous attachaient les mains pour nous empêcher de le retirer. En attendant que le plastron fasse effet. |
La sensation était lente, mais après la première fois... La peur était étouffante, de savoir ce qui allait se produire. Cela commençait comme une simple indisposition, une démangeaison. D'abord au bout des écailles, puis jusqu'au centre. On avait la langue flétrie dans la bouche. On pouvait fermer les yeux mais cela n'apaisait rien. On avait la peau qui se tendait, centimètre par centimètre. | La sensation était lente, mais après la première fois... La peur était étouffante, de savoir ce qui allait se produire. Cela commençait comme une simple indisposition, une démangeaison. D'abord au bout des écailles, puis jusqu'au centre. On avait la langue flétrie dans la bouche. On pouvait fermer les yeux mais cela n'apaisait rien. On avait la peau qui se tendait, centimètre par centimètre. |
Version du 19 juin 2018 à 13:29
Média d'origine : TES Online
Par le maître des reliques Glenadir
Entretient de Wuja-Nakal, ancien esclave Oui, nos geôliers Telvanni les utilisaient régulièrement en châtiment. Pour ceux de ma race, il est peu de pires tourments que la sensation de... sécheresse. Nous avons l'habitude de la chaleur, bien sûr, mais la chaleur humide du Marais noir. Pas cela. Ils avaient des moyens plus ordinaires d'assécher un Saxhleel. Ils nous enfermaient dans des cages, au soleil d'été. Mais pendant les jours de pluie, ou lorsque la brume s'abattait sur les îles, ils nous forçaient à porter ceci. Nous attachaient les mains pour nous empêcher de le retirer. En attendant que le plastron fasse effet. La sensation était lente, mais après la première fois... La peur était étouffante, de savoir ce qui allait se produire. Cela commençait comme une simple indisposition, une démangeaison. D'abord au bout des écailles, puis jusqu'au centre. On avait la langue flétrie dans la bouche. On pouvait fermer les yeux mais cela n'apaisait rien. On avait la peau qui se tendait, centimètre par centimètre. Et même si l'on en rêvait, ils nous empêchaient toujours de mourir. |