Voir la source de Grands esprits de la Crevasse : vol. 4

{{Book|developpeur=|auteur=Vashu gra-Morga, Daedrothéologue en chef de l'université de Gwylim|titre auteur=|date=|source={{média|Online}}'' - Markarth''|commentaire=|resume=|sous titre=|auteurIRL=|dateIRL=|langue=}}
Les Crevassais accordent une grande importance aux rythmes naturels et à la marche inexorable du temps. Tout ce qui existe disparaîtra. Le fort qui s'élève trop haut s'écroulera. Le clan qui meurt de faim deviendra fort. L'équilibre éternel est l'œuvre de Péryite, maître des Tâches et seigneur de l'Ordre. Par bien des matières, Péryite s'oppose à la permanence du conflit. Les guerres et les épidémies peuvent infliger de cuisantes blessures, mais le Maître des Tâches s'assure que le monde revient toujours à son état naturel.

Comme dans la plupart des cultures, les Crevassais associent Péryite aux maladies. Mais contrairement aux autres peuples, les Crevassais ne voient aucune malveillance dans la maladie. Au contraire. Les vies étouffées par la maladie laissent la place à des Crevassais plus sains et dynamiques. Comme les feux de forêt, les maladies sont une force par laquelle la nature se revitalise : un équilibre nécessaire des fruits de l'abondance.

Je devrais remarquer que le rôle de Péryite dans la société de la Crevasse reproduit celui d'Akatosh dans les fois aedriques. Les associations avec le temps, l'ordre naturel rigide, l'imagerie draconique et ainsi de suite me laissent supposent un croisement culturel lors des premières interactions avec les hommes et les mers dans le Nord-ouest de Tamriel. L'idée est hérétique, mais fascinante.
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