Journal d'Alizinda : Différence entre versions

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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Une incantation magique ! Ce n'est pas l'écriture du journal d'Alizinda. Donc, ce n'est pas elle qui est responsable de la malédiction !
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Plantaisons, 12<br>
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Oh, il le dit si délicatement, « Alizinda, tu es mon clair de lune, la chaleur du soleil au midi. » Mais n'est-ce pas simplement la façon dont un noble parlerait à sa maîtresse ? Je crains parfois que Mathen ne me considère que comme une amourette. Je sais que je n'arrive pas à la cheville des dames nibenaises qui se pâment sur son passage. Je sais que je n'ai rien à lui offrir. Mais malgré cela, je ressens pour lui un amour plus chaud que le désert d'Alik'r au zénith. J'espère qu'il le sait.
  
Je savais que mon ancêtre n'était pas une sorcière. Une meurtrière, peut-être, mais pas une sorcière ! Bien sûr, cela soulève une question…
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Mi-l'an, 8<br>
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Il m'aime ! Par les brais du Grand Père, qu'ai-je fait pour mériter un tel homme ? Je m'a dit que je tremblais pour rien. Il assure que son cœur n'appartient qu'à moi ! Il a même parlé de mariage ! Imaginez un peu. Tous mes rêves se réalisent.
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Mi-l'an, 16<br>
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Quelle idiote j'ai été. L'amour ? C'est une plaisanterie cruelle. Lorsque Mathen parlait de mariage et de voyage, c'était un mensonge. Des mots doux qui lui permettent de s'adonner à de frivoles incartades. Les autres femmes m'assurent qu'il est promis à une autre, l'héritière d'une province du nord qui n'est pas encore arrivée. La dûchesse doit être si fière. Mais je refuse de rester la victime de ses mensonges.
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Mi-l'an, 18<br>
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Tout est prêt. Mathen doit me retrouver à la maison ce soir. Il faudra que ce soit ce soir. Chaque nuit, ma colère retombe et cède le pas à la colère. Il m'a brisé le cœur. Il s'est servi de moi ! Si je ne le lui fais pas payer maintenant, je crains de ne plus en avoir la force. Sois maudit, Mathen. Sois-maudit de me faire blesser celui que j'aime !
 
[[Catégorie:Livre : Journaux]]
 
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[[Catégorie:Livres]]
 
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Version actuelle datée du 12 juin 2021 à 18:48

Média d'origine : TES Online - Blackwood


Plantaisons, 12
Oh, il le dit si délicatement, « Alizinda, tu es mon clair de lune, la chaleur du soleil au midi. » Mais n'est-ce pas simplement la façon dont un noble parlerait à sa maîtresse ? Je crains parfois que Mathen ne me considère que comme une amourette. Je sais que je n'arrive pas à la cheville des dames nibenaises qui se pâment sur son passage. Je sais que je n'ai rien à lui offrir. Mais malgré cela, je ressens pour lui un amour plus chaud que le désert d'Alik'r au zénith. J'espère qu'il le sait.

Mi-l'an, 8
Il m'aime ! Par les brais du Grand Père, qu'ai-je fait pour mériter un tel homme ? Je m'a dit que je tremblais pour rien. Il assure que son cœur n'appartient qu'à moi ! Il a même parlé de mariage ! Imaginez un peu. Tous mes rêves se réalisent.

Mi-l'an, 16
Quelle idiote j'ai été. L'amour ? C'est une plaisanterie cruelle. Lorsque Mathen parlait de mariage et de voyage, c'était un mensonge. Des mots doux qui lui permettent de s'adonner à de frivoles incartades. Les autres femmes m'assurent qu'il est promis à une autre, l'héritière d'une province du nord qui n'est pas encore arrivée. La dûchesse doit être si fière. Mais je refuse de rester la victime de ses mensonges.

Mi-l'an, 18
Tout est prêt. Mathen doit me retrouver à la maison ce soir. Il faudra que ce soit ce soir. Chaque nuit, ma colère retombe et cède le pas à la colère. Il m'a brisé le cœur. Il s'est servi de moi ! Si je ne le lui fais pas payer maintenant, je crains de ne plus en avoir la force. Sois maudit, Mathen. Sois-maudit de me faire blesser celui que j'aime !