Notes sur la phylogenèse et la biologie raciales, septième édition

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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Média d'origine : Morrowind

Par le Conseil des Guérisseurs, Université impériale


Après de nombreuses études sur des spécimens vivants, le Conseil diagnostiqua il y a fort longtemps que toutes les "races" elfiques et humaines pouvaient s'apparier et donner le jour à une progéniture fertile. La progéniture présente essentiellement les traits raciaux de la mère ainsi que, dans certains cas, quelques uns du père. La version française de Morrowind contredit cette partie et dit que "Argoniens et Khajiits peuvent également se reproduire entre eux ou avec les humains et les Elfes, bien que la position d'accouplement soit nécessairement différente."Les doutes subsistent quant à la fertilité des Khajiits ou des Argoniens avec les Humains ou les Elfes. Bien qu'au cours des ères, certains enfants issus de ces unions aient été signalés, ainsi que d'unions avec les Daedra, les preuves sont malheureusement absentes. La version française de Morrowind ajoute que "les Khajiits diffèrent des humains et des Elfes par leur appareil génital"Les Khajiits se différencient des Humains et des Elfes non seulement par leur physiologie squelettique et dermatologique (la "fourrure" qui recouvre leur corps), mais également par leur métabolisme et leur système digestif. La version française de Morrowind ajoute que "les argoniens semblent être une espèce semi-aquatique proche de l'homme et ayant la même espérance de vie"Les Argoniens, comme les Dreughs, semblent être une forme humanoïde semi aquatique troglophile. Il n'est cependant pas certain que les Argoniens doivent être classés avec les Dreughs, les Hommes, les Mers ou (selon l'opinion de l'auteur), avec certains lézards arboricoles du Marais noir.

La biologie reproductive des Orques n'est toujours pas bien éclaircie, tout comme celle des Gobelins, Trolls, Harpies, Dreughs, Tsaescis, Imgas, Daedra et bien d'autres encore. Il y a certainement eu des cas de relations sexuelles entre ces "races", généralement par viol ou par séduction magique, mais aucun cas de grossesse n'a été rapporté ni prouvé. La stérilité résultant des unions entre ces créatures et les hominidés doit être établie empiriquement ou réfutée, et les différences culturelles profondes jouent certainement un rôle majeur. Une Bosmer ou une Brétonne normale, enceinte d'un Orque, cacherait certainement sa honte et il n'y a aucune raison d'imaginer qu'une vierge orque engrossée par un Humain ne serait pas, elle non plus, mise à l'écart de son groupe. Il est regrettable que notre serment de guérisseur nous empêche de contraindre deux créatures à l'accouplement afin de parfaire notre connaissance scientifique. Nous savons cependant que les Sloads de Thrace sont hermaphrodites dans leur jeunesse et réabsorbent leurs organes reproducteurs quand ils ont atteint la maturité nécessaire leur permettant de se rendre sur la terre ferme. Nous pouvons supposer sans grand risque qu'ils ne sont pas fertiles avec les Hommes ou les Mers.

On peut en outre se demander si la classification de ces mêmes "races", pour utiliser un terme imprécis mais pratique, La version française de Morrowind est différente et dit que "Les différences existantes ne seraient-elles pas dues aux besoins imposés, en termes d'évolution, par le fait de vivre dans des régions du globe aux conditions différentes, tant pour ce qui est du relief que du climat ? Dans ce cas, on pourrait penser que toutes les races descendent d'un tronc commun sur lequel sont venues se greffer les caractéristiques dérivées propres à chacune. "devrait se faire à partir de l'hypothèse d'un héritage commun et des différences qui se sont révélées lors d'expériences de magie, de la manipulation des "ossements de terre" ou de changements graduels d'une génération à une autre.

Canonbox defaultCommentaire.pngCes paragraphes n'existent que dans la version française de Morrowind

Les écailles recouvrant l'épiderme des Argoniens les mettent clairement à l'écart des Nordiques, Brétons et Cyrodiléens, ainsi, d'ailleurs, que leur colonne vertébrale s'achevant par une queue et que leur système respiratoire constitué d'un canal semi-circulaire et des deux glandes similaires à celles qu'utilisent les céphalopodes pour sortir et rentrer leurs ventouses. Il est intéressant de noter que ce système est proche de celui des Sloads et des Dreughs. Les Dreughs, qui vivent davantage sous l'eau que les Argoniens, possèdent trois canaux semi-circulaires afin de faciliter leur respiration, tandis que les Sloads, qui vivent uniquement sur la terre ferme, ont trois glandes de céphalopodes. Bien qu'il ne s'agisse pas là de preuves irréfutables, ces différences restreintes suggèrent une évolution divergente en raison de milieux de vie dissemblables.

Il apparaît que ces gnathostomes font partie du même phylum : Sloads et Argoniens sont des hominiens bipèdes, mais également des ostracodes céphalaspides. Nul doute que les Dreughs sont eux aussi des ostracodes de même phylum, le squelette peu différencié étant la norme chez les ostracodes, fussent-ils gnathostomes ou cyclostomes.

Toutes ces " races " peuvent également être définies par leurs humeurs, c'est-à-dire la quantité de sang, bile noire, flegme et bile jaune présents dans leur organisme. En règle générale, les déséquilibres sanguins sont plus fréquents chez les Bosmers, Rougegardes (ou Yokudas), Nordiques, Khajiits, nymphes et centaures ; ceux qui sont liés à la bile noire se manifestement le plus souvent chez les Dunmers, Argoniens, Dreughs, Harpies et Orques ; ceux qui sont associés à la bile jaune sont plus fréquents chez les Aldmers, Ayleids (ou Elfes sauvages), Brétons, Cyrodiléens, Akavirois, Imgas et nombre de races " barbares " comme les Trolls, Gobelins et autres Lamies ; enfin, les troubles liés au flegme se manifestent principalement chez les Sloads et les Pyandonéens. Permettre à la recherche scientifique de cohabiter avec les remèdes " de grand-mère " est l'un des défis auxquels notre Conseil doit chaque jour faire face, mais nous espérons que le guérisseur avisé prend en compte la race de son patient et ses caractéristiques physiologiques propres avant de déterminer les sorts qu'il convient de lancer.