Motifs culturels 12 : les Barbares

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
Révision datée du 5 septembre 2014 à 09:25 par Nita (discussion | contributions) (Page créée avec « {{Book|auteur=Seif-ij Hidja|titre auteur=|source=TES Online}} Voici la suite de ma compilation des notes du docteur Alfidia Lupus concernant l'étude des vêtements,... »)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à : navigation, rechercher
Média d'origine : TES Online

Par Seif-ij Hidja



Voici la suite de ma compilation des notes du docteur Alfidia Lupus concernant l'étude des vêtements, des armes et des armures de divers styles culturels...

Malgré l'influence civilisatrice de notre noble Second Empire, il existe toujours en Tamriel des lieux reculés et des arrière-pays habités par des tribus barbares. Pour nous Cyrodiliens, les plus familières sont sans doute les clans sauvages des Crevassais qui habitent les montagnes sauvages entre Bordeciel et Hauteroche et dont les pillards ont été vus, de mémoire d'homme, aux abords de Bruma. Mais il existe aussi les Cendrais de Morrowind, les redoutables Kothringi du marais noir, les Ket Keptu du centre de Martelfell, et bien d'autres encore.

Aussi étrange que cela paraisse, ces tribus pourtant dispersées à travers le continent et distantes les unes des autres, ont indéniablement des goûts vestimentaires extrêmement similaires. La raison pourrait faire l'objet d'une autre étude ethnographique, plus approfondie que celle-ci qui se borne à des description s Justement, décrivons donc I

Ce style clanique ou tribal, bien qu'on l'appelle couramment « barbare », n'est pas moins sophistiqué que celui des autres cultures. Les tribus considérées comme « barbares » dédaignent tout simplement les diktats du bon goût et donnent dans le criard ou l'étrange. Ils préfèrent les couleurs vives, et les matières peuvent être laquées dans tous les coloris. Les crânes, les andouillers, les plumes, les dents, le cuivre repoussé et les armes (en grand nombre et de grande taille) sont des ornements de choix.

(Je me dois d'intervenir, car une grande partie de cette description pourrait s'appliquer aux styles de mon marais noir natal, une région qu'on pourrait difficilement qualifier de « barbare » ! Je reprendrai cette étude des styles culturels plus tard.)