Les Sept Combats de L'Aldudagga - 6e combat, "La 911e Vache" : Différence entre versions

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Version du 24 mai 2014 à 17:01

Texte de développeur
Commentaire : Texte traduit par la communauté.

Par Michael Kirkbride



C'était l'époque d'Anna Kuhlsdotter, qui conduisit une fois ses sœurs-nuages dans une guerre victorieuse contre les Skalds des livres détruits

Nous parlons peu des Géants, encore moins aux étrangers, car leur histoire est cachée dans les longs cris de pouvoir. A la maison, ça fait mal au cul de raconter leurs histoires et d'ensuite nettoyer toutes les choses renversées par le récit… Et dans un foyer étranger, c'est [tout simplement grossier] Nous parlerons donc d'eux (car nous le devons -- qui n'honore pas ses parents ?) sous la voûte du ciel, ou, ici, écrit sur des morceaux de peau car telles sont leurs fougueuses menaces. C'est [un chant (ou une complainte, le manuscrit n'est pas clair)], donc, sur la menace des Géants et, comme dans la plupart, il y est question de vaches peintes.

[Tout d'abord], laissez-nous présenter les deux pouvoirs en place, le Dragon et le Dagon, car c'est aussi et avant tout l'Histoire de Leur Combat [ si c'est approprié]… [Texte manquant]… le seul a avoir eu lieu le jour de naissance du Roi Démon (non, ce jour honteux ne sera pas révélé car il est dangereux et, oui, il y a déjà très longtemps—UNE SEULE FOIS – nous avons tous été eus en le célébrant dans un grand tapage de chochottes où nous avons du porter de grands chapeaux spéciaux.

Dagon [comme on peut le supposer] trouva un inlassable sorcier de l'Ouest, homme ou femme, qui l'aimait par-dessus tout, et ainsi, par un travail très très dur de sort-cellerie… [ le seigneur démon] promettant et chuchotant des récompenses de l'indicible et puissant à l'oreille du sorcier… apparut à travers la brume sous des formes familières trop petites pour que le Dagon ne note qu'il n'était pas entièrement dans [l'Oblivion] où il avait été banni autrefois… et peut-être heureux (car les anniversaires SONT heureux) et infectant ainsi assez pour engendrer une grande industrie, profanant encore son aspect pour conserver sa stature devant les yeux des mauvais, d'où ses partisans proviennent toujours (Quand ils ne proviennent pas des imbéciles).

[Et le sorcier amoureux]…[texte perdu]… dansa follement dans les manières de l'art magique de l'Ouest [et] invoqua son maître infernal ce jour de grands auspices par la folie et l'amour forgé par la magie [qui durait au delà du mandat] de vraie invocation. Après quoi, le Dagon surgit d'une tarte aux myrtilles.

"Je ne pensait pas que ça fonctionnerait DU TOUT" dit il, ce vieux seigneur du désordre, et il commença à louer l'art du boulanger dans de tels caquètements et une telle longueur que [le sorcier qu'il avait prit comme amant] devint jaloux comme les femmes à tête de loup (vous les connaissez celles-là).

"Pssh", dit Dagon, "Moi, Seigneur des rasoirs et de la Boisson Rouge, Roi aux Intentions Terribles, Mehrunès le Prince de Quatre Enfers et d'Un Paradis, moi Qui Commande 88 Légions Daedriques…. Je viens juste de sortir d'une tarte, espèce de harpie défaillante ! C'est *******ement débile.

Après quoi, il arracha d'un coup de dent le cou du sorcier éconduit et joua dans le sang.

(C'est pourquoi toutes les boulangeries dans notre village font du « Secouez le Dagon » une partie du sifflement de leur farine)

Maintenant, le rôle du Dagon ici est plus subtil, et n'a réellement existé que dans le peur d'une petite fille de ferme dans les hautes terres de Newkreath. Comme ceux qui ne craignent pas Alduin, le dragon mangeur, et spécialement les enfants, qui pensent toujours qu'ils sont les derniers à venir car ils sont les plus récemment arrivés ? (Et les enfants, ETANT spéciaux, ont peut-être raison et peut-être est-ce seulement par leurs peurs que [ce kalpa] survit encore, nous ne les mettrons donc pas en doute.)

En tous cas, son nom était Aless (son père aimait le Sud, et Ald Cyrod, et connaissait l'histoire de leur célèbre et ancienne reine), et elle avait une telle peur que le Dragon ne se réveille un jour pour manger tous ce qu'elle avait jamais connu qu'elle se détermina à faire tout ce qu'elle pourrait [pour les protéger]. Évidemment, elle commença à peindre beaucoup, beaucoup de vaches.

Voici pourquoi : les Géants vinrent de l'ancien Atmora, là haut à travers la Glace du Nord à l'âge du mythe parti-dans-le-crépuscule… Et ils se sont installés ici, dans le Bord du ciel et tous le long des montagnes de nos côtes. (Oui, ce sont nos vrais ancêtres, ne croyez pas vos tantes de l'université – et, oui nous avons été aussi gros qu'eux—aussi grand que CA—mais c'est une autre histoire)… [texte perdu]… et après que [la grande calamité] arrive [les choses-du-clan (gens ? tribus ? le texte semble indiquer l'humanité dans son ensemble bien que cela puisse être débattu)] nous étions en quelque sorte perturbés… et nous, les Nordiques tombèrent dans le combat et emmenèrent notre famille-géante au sommet des montagnes [et nous fûmes un mauvais peuple pendant de nombreuses années]…[jusqu'à ce que toutes] les choses aient changées à jamais. Une fois la plaidoirie reprise [(non spécifié) années plus tard] les choses revinrent en un nouveau semblant de normalité et les frontières ont été redessinées et agrées au milieu d'une discussion arrosée par la bière, et les pillages des territoires Mers devint dans l'esprit de chacun de vieilles querelles, et très vite (enfin pas assez vite mais peu importe) les Géants commencèrent à revenir des montagnes. Et ils étaient un peu différents de ce que nous, Nordiques, nous rappelions, ou peut-être avions nous beaucoup oublié, mais ils ne nous parleraient plus—ils souriraient seulement de leur manière paresseuse, piétineraient, et prendraient nos affaires.

Si nous les avions combattus, ils auraient rugi plus fort que les Langues du Haut Hrothgar, et les places courageuses auraient étés soufflés en tellement de purée, [poulets, et tous ( ?)]…[et] finalement nous avons appris que si nous laissions des affaires pour les Géants, et peignons ces affaires vivement avec des tourbillons (ils aiment les tourbillons) et posions de grands signaux pointant vers tout cela, ils prendraient simplement CES affaires et rien d'autre et on ne devrait pas combattre (non pas que ce que j'ai décris aient été de vrais combats—Personne ne peut combattre les Géants, voilà ce qui est important). Et ceci explique la tradition de peintre la vache, car aussi paresseux et souriants qu'ils sont, à tel point qu'il semblerait qu'ils ne feraient pas de mal à une âme (ha !), les Géants mangent de la viande, et en mangent beaucoup. Aless (vous vous en rappelez encore ?) se dit à elle-même, « J'ai tellement ; tellement peur que le Dragon ne se réveille et ne mange le monde—DU JOUR AU LENDEMAIN—que je vais peindre toutes les vaches que je verrai afin d'invoquer tous les Géants que je pourrais afin de frapper ce vieux Visage Écailleux, et le frapper vraiment, vraiment fort—assez fort pour l'assommer et le rendormir » (Aless avait entendu, comme vous maintenant, que « Personne ne peut combattre les Géants » et le prenait un petit peu trop à cœur)

Elle commença par le troupeau de chez elle, à peu près quatre douzaines de bêtes fortes [avec] deux taureaux (le vieux rompu dans une étable séparée, pour aller dans ses vieux jours dans une plainte – et Aless avait fait jurer à son père de ne pas tuer ce vieux taureau car elle l'avait aimé de la façon dont les enfants aiment les choses que d'autres voient inutiles et dépassées. Et alors à la septième vache, Aless avait manqué de peinture « Je n'aurais pas dû faire tant de tourbillons », dit-elle en soupirant. Et c'est là qu'il apparut, le Dagon, établit dans une peau de Nordique volée à un Homme Intelligent, venu de l'Ouest par une dérobade [à travers le réel]

"Non", dit-il à travers son impressionnante barbe tricotée de perles, « Tu as bien fait. Si j'étais un géant, celles-ci seraient de très bonnes vaches à prendre. Mais pourquoi en peindre tant ? [Une par saison et par lieu] est la norme »

Aless fronça les sourcils vers Dagon-rendu-Intelligent, et dans suspicion, car elle était un enfant et on leur apprend à respecter nos [Hommes-magiques]. « Parce que je hais le Dragon », admit-elle, en craignant l'avertissement. (Il n'est pas très sage de mal parler d'Alduin n'importe quand, et surtout en présence d'un Vraiment, Vraiment Sage). Elle se corrigea elle-même : « Eh bien, plus que tout, je n'aime pas avoir peur de lui. Je suis désolée pour ce que j'ai dit avant.

Dagon dit : « Votre peur est bien fondé. Le Mangeur de Temps viendra bientôt. »

"JE LE SAVAIS" dit Aless, saisissant ses pots de peinture et ses brosses [dans une course], en ayant l'intention de retourner à son foyer pour prendre ses poupées et ses boucliers d'enfants et de les vendre pour avoir plus de réserves. « Je dois y aller, monsieur, je dois appeler les Géants VRAIMENT VITE et UN TAS »

"Enfant" rit Dagon, " Tu n'en peindras jamais autant que cela, étant donné ton petit pouvoir. Mais, oui, ton plan est bon. Beaucoup de Géants, très rapidement. Oui. C'est astucieux. Maintenant, viens avec moi. Kyne --» et au Nom du Sacré, le démon s'étouffa presque, « -- elle m'a prêté les vents et je peux nous faire aller de l'un à l'autre. Et Tsun-- » et à ce Nom Dagon s'étouffa effectivement, toussant durement, mais en le cachant comme si c'était dû à l'âge, « --il m'a accordé des provisions venant de l'éther. Tu auras toute la peinture nécessaire, et tu seras assez rapide pour tourbillonner toutes les vaches d'ici à Vendeaume.

"C'est TROP cool!" dit Aless, en sautant. Mais en ayant parlé de tellement de Dieux [et des châteaux célestes dans lesquels ils vivaient], Dagon s'était fait une horrible égratignure à la gorge. Il toussa de nouveau, longuement, se pliant en deux finalement. Aless fronça de nouveau les sourcils, cette fois-ci avec ce qui semblait être de la pitié et mit sa main sur son dos. « Vous allez bien, monsieur ? Je vous crois à propos de toute votre magie, mais peut-être devriez vous aller vous reposer. Je peux vendre mes poupées et gagner de la peinture et juste courir vite.

"Je vais très bien ma chère", dit Dagon, enlevant sa main, trop durement, et ensuite [se rendant compte qu'il était effrayant] retrouva son calme, « Et je m'excuse de t'avoir effrayé. C'est seulement parce que je peux sentire que l'Age tourne, et je suis malade de la mort imminente de Monde. »

« Um », dit Aless. « Vous êtes encore effrayant »

"Allons, peins le reste de ceux-ci, et allons-y. Tu est brave, et généreuse, mais ne peux courir aussi vite que cela est nécessaire. Nous avons des vaches à tourbillonner et des Géants à faire descendre des montagnes. Ce n'est que par leur puissance que nous pourrons faire se retirer dans son sommeil le Dragon et ainsi sauver tous ce que nous connaissons. » Et bientôt le Dagon et la fille marchèrent dans un vent [et disparurent]

[Désormais] on peut supposer que Dagon était un sac de ***** --le Dragon ne venait pas du tout et resterait assoupi jusqu'à ce que … [texte perdu]… Ce qui est loin de nos jours. Mais le seigneur des Rasoirs détestait déjà le Nord, car il y était né (plus ou moins) et que c'était ici qu'il avait été maudit, et ainsi, le jour de son anniversaire, il avait décidé qu'il détruirait tous de Bordeciel et tous les Nordiques qui y étaient. Il avait effectivement besoin de son peintre-en-vache pour amener les Géants (ou peut-être cela l'amusait-il d'utiliser l'un des nôtres, on ne peut pas le savoir), et donc il [joua sa peur] dans un but plus répugnant : il savait que tellement de Géants descendant des montagnes ferait penser au Haut-roi que c'était la guerre et le rassemblement. Et n'importe quelle guerre avec les vieux pères nous détruirait.

“Qui connaît les voies des rois et reines, petite fille de ferme”, riposte Dagon, en commençant à perdre patience en voyant maintenant cette Aless poseuse-de-questions comme une cuisse de dinde dans son estomac. Mais non, pensait-il, je peux attendre. [Je peux attendre.]

Et juste comme elle commençait à tourbillonner ces nouvelles vaches (sous le couvert de rideaux de neiges et dans l’ombre du mur du thane) Aless demanda, « Mais pourquoi le Haut-Roi ne le sait-il pas déjà ? N’a-t-il pas des conseillers Intelligents et des Femmes Sorcières pour le lui dire ? Et le Reine, n’a-t-elle pas ces six paires d’yeux de divinations parlants du vieil homme Mora.

Aless haussa les épaules, poignant les vaches dans ce que Dagon supposait être [le cachet] de Vendeaume maintenant, et disant seulement « Je crois que vous avez raison, monsieur. Mais je suis nommée d’après une reine, une vraiment bien, d’après les livres. » Et [à cela] Aless parla du Cyrod du Sud et ses histoires de tueries-de-mers par les Hommes et des héros envoyés par les Dieux, et le tête de Dagon commença à être en nage avec cela, de vent en vent et de troupeau en troupeau sur les terres de Vendeaume avec la fille qui parlait et parlait toujours, car le démon haïssait les [Terres des tribus d’Aleshut] presque autant que les nôtres, mais pour des raisons différentes, et juste comme il était sur le point de défouler sa rage (car c’était sa nature originelle), Aless dit fort, riant sottement de victoire, « neuf cent dix, avec de la peinture en trop »

À ce moment, Dagon pensa que tout était fait, et il commença à faire grandir des crocs derrière sa barbe.

« Quelle connerie ! » dit Aless en regardant sa robe couverte de peinture. « Nous avons complètement oublié les signes ! »

« Hein ! »

“Dans toute cette peinture follement rapide, monsieur, nous avons oublié de dresser les signes pour faire Regarder Ici ! Les Géants ne sauront pas qu’ils doivent venir ! On l’a vraiment oublié ! »

Dagon glissa ses crocs à l’arrière, car ce qu’elle disait était [vrai]. Il soupira, « Oui. Les signes. Totalement oublié. Connerie. »

« Dites vous que, » dit Aless, « Ramenez-moi à la maison. Nous pouvons prendre les signes que j’y ai fait et vous pourrez par Tsun en faire plus et vous disperser partout où nous avons étés et partout ailleurs pour les mettre en place. Et pendant ce temps je peindrait UNE VACHE DE PLUS pour faire neuf cent ONZE. Ce serait plus que chanceux, d’accord ? »

Dagon-semblant-Intelligent fronça maintenant les sourcils, car il voulait la guerre vite, et dit “Je suppose. Vraiment, une vache de plus qu’est-ce que ça pourrait faire ?’ Et [ils reculèrent] à travers les vents jusqu’au propre foyer d’Aless, après quoi elle couru au hangar à signe et en rapporta autant qu’elle pouvait en porter, les jetant presque sur les pieds de Dagon. Oh par les seize enfers je vais manger cette fille idiote, pensa-t-il, avec du WASABI !" Mais il ramassa les signes pour faire Regarder Ici et les multiplia en un plus gros paquet, les mettant tous sur l’épaule.

« La nuit part vite, monsieur, vous devriez vous hâter ! »

Et Dagon sombre dans le vent, étourdi par ses plans et sourires et pensées posant signe après signe vers chaque troupeau de vache de Newkreath à Vendeaume et tous les lieux entre, se souhaitant un autre sorcier à mordre pour tous son mal, faisant finalement grandir ses quatre bras pour finir plus vite, d’étape de vent en pose de signe, rêvant d’une [marée] de Géants venant des pics de Bordeciel pour faire sauter les Nordiques loin de tous les temps, et dans ce temps il perdit la trace, jusqu’à ce qu’il soit finalement de retour au foyer d’Aless qui haïssait le Dragon.

« Coucou » dit-elle en voyant la vrai forme de Dagon, « Vous avez complètement oublié que nous avons peint toutes les vaches ici au début de tous cela, espèce de grosse andouille. J’ai donc peint ce vieux taureau à la place. » Et c’était vrai, Aless avait pris dans la grange le taureau qui avait été épargné car elle avait supplié à son père de le faire, et au lieu de tourbillons, elle avait peint [des ailes dessus]. Avant les yeux de Dagon ce taureau (se transforma à la manière d’un déguisement magique d’un Dieu] en Mor, le taureau du Sud, fils de Kyne, et demi-prince de tous les vents. Mor grogna par le cercle de son anneau de nez et accueillit [le roi des Rasoirs]. « Salut, Dagon. Les prières des enfants passent très rarement inaperçues. »

Aless dit, « C’est à propos de moi. »

Mor continua : « Vous vous introduisez en dehors de votre jour autorisé d’invocation, Seigneur Daedroth. Les cieux ne sont pas contents de cela. »

Aless sourit et leva un doigt, « Un, on est censés ne JAMAIS calomnier Alduin devant un Homme Sage. Et VOUS ne m’avez pas réprimandé. » Elle en leva un second « Deux, vous ne pouvez même pas dire le nom des Dieux, sans vous étouffer, et tous les Hommes Sages a assez de vent dans sa voix pur les révérer sans censure, involontaire ou nom. » Trois doigts, maintenant quatre, cinq, et six avec une deuxième main. « Ensuite évidemment les tourbillons, que nous, Nordiques peignons pareille sans se soucier du clan auquel nous appartenons, car les Géants ne parlent qu’UN langage et c’est dans notre intérêt de parler concisément avec eux. Je pourrais mentionner beaucoup d’autres choses, mais vous les avez toutes devinées : le sort dont vous souffrez à la mention de mon antique homonyme, dont j’ai parsemé l’histoire de dictons qui sont supposés être répétés par quiconque est proche de l’entrée des hymnes, et les yeux de divination qui Disent Quoi Hein ? Ils n’EXISTENT même pas et vous aviez acquiescé de votre fausse tête de Sage, et—« 

“Je pense, petite homonyme,” beugla Mor, “Qu’il a saisi”

Dagon fulminait maintenant, la neige fondant autour de ses sabots nouvellement apparus, s’étirant dans et hors de la peau démoniaque, rouge comme la terreur, armé d’ébonite et écumant. Aless se tenait sur le sol. Mor frappa deux fois, une fois [d’approbation et une fois de menace]

“Vous auriez rendu mon aimé fier de votre courage. » dit le taureau à Aless, et à Dagon : « recule, Roi Démon, et va-t-en. Tu ne gagneras pas aujourd’hui, même si ce jour est couronné du pouvoir de ta première venue. »

“QUOI MAINTENANT,” brailla Dagon, les envoyant tous les deux en arrière avec [un souffle de feu], « TU N’EST RIEN DEVANT MOI, MORIHAUS DEMI-ESPRIT ! LE DAGON NE COMBAT PAS LES FILS DES CONCUBINES DU CIEL, MAIS LE ROI DU CIEL LUI-MÊME »

“Ouais, c’est sûr », rigola Aless, « Et comment ça se finit pour vous ? Toutes les combats que vous avez avec le Dragon finissent avec votre défaite, Roi des Ballots. Et il en sera toujours ainsi. Ici, là, alors, maintenant, ou dans le futur : Le Dragon te bat, comme il nous bat tous. Je n’ai plus peur de cela. Plus important, je n’ai plus peur de TOI » Dagon s’avança, crépitant maintenant [avec la flamme et le vieux Malheur]. Mor tourna ses cornes pour être prêt. Aless resta où elle était.

“Je ne ferais pas cela, monsieur” dit-elle. « Ces tourbillons que j’ai commencé à peindre dès que nous avons volé avec les vents ? Ce n’était pas des Tourbillons Brillants d’Appel de Géants, mais des avertissements au foyer… que vous étiez ici—juste ici, juste là où je vous ai demandé de revenir. Je pense que tu commenceras bientôt à entendre les cornes. Et même, tu ne peux te charger de tous les fils et filles de Kyne, espèce de ******. »

Et c’est là qu’ils entendirent [les cornes de tous les clans], et la plus proche était comme le chant de la tempête du tonnerre de nach, car Mor était à côté, et il était [de la descendance du Grand Ciel] Et Dagon sut que là où le son des cornes arrivait, les Langues du Haut Hrotgar pouvaient intervenir, et quand ensemble, les barbes grises pouvaient respirer jusqu’à être le fantôme de Shor, qui laissant tous les Pouvoirs faibles, [même dans la demi-mort].

« Une malédiction sur la maison d’Alessia”, marmonna Dagon avant d’invoquer une porte vers [L’Oblivion], car il savait que son travail avait été entièrement défait, « Et encore huit sur les hommes du Dragon. Il y aura une heure où—»

Aless s’appuya sur son taureau.

“Hé, Tousseux”, dit-elle, “Ferme-là et va-t-en. J’ai dépassé l’heure de me coucher »

Et c’est ce qu’il fit, manquant l’arrivée des osts de Hrothgar et Newkreath, et les coureurs du proche [Hjaalmarch], et, évidemment, les thanes du propre foyer d’Aless, ce qui incluait son père, et tous virent la fille de ferme dans sa robe sale s’appuyant contre le [Taureau du Ciel], glorifié dans les histoires et les chants depuis les jours de notre premier aube, et tous prêts pour la bataille et confus [qu’ils ne la rencontreraient pas] et triomphant encore plus avec les bénédiction de Bordeciel par les Dieux que nous tenons hauts.

Ce à quoi Aless put seulement répondre “C’est vraiment une longue histoire, les gars.”


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