Les Fées : Différence entre versions

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Version actuelle datée du 23 mars 2014 à 14:41

Média d'origine : TES 2 : Daggerfall

Par Szun Triop


Les fées existent probablement en Tamriel depuis bien longtemps avant les premiers écrits, peut-être depuis, voire avant, les jours des Très Anciens. On trouve des contes sur leur espièglerie dans toutes les cultures, villages, villes et Cités-États de l'Empire. Elles sont tour à tour appelées Fées, Féeries, Lutines, Esprits, Pixies, ou Sylphides, et leur nature semble être de passer d'un conte à l'autre en changeant à chaque fois. On pourrait presque dire que les fées sont imprévisibles par nature.

Le grand érudit Ahrtabazus qui étudiait à une époque à la Tour de Cristal de l'Archipel de l'Automne a développé une théorie intéressante mais controversée sur les fées. Il les a classées selon une chaîne qui commence aux lumineuses étincelles appelées Pixies ou Whilloki par les Rougegardes et qui se termine avec les créatures quasi divines que sont Gheateus, Chonus, et Sygria. Au centre se trouvent les créatures humaines et semis humaines générant les arbres intelligents, ruisseaux, rochers et même les montagnes.

Cette théorie était nouvelle a l'époque et fut accueillie avec enthousiasme, même si quelques réactions sceptiques amenèrent Ahrtabazus a omettre cette note : "Il se peut que les elfes fassent partie de cette chaîne, au dessus des Whillokis et au dessous des Nephrines. Ils ont de nombreuses similarités et une propension à la magie tout comme les autres fées." (Ahrtabazus, "La chaîne des fées" Primeterre, 2E 456)

Aucun elfe n'aime être placé dans une hiérarchie juste au dessus de capricieux farceurs comme les Whillokis. Ahrtabazus fut accusé d'émettre des suppositions basées sur de simples coïncidences. Quoi qu'il en soit, et une fois modifiée, sa théorie de la chaîne des fées a gagné de plus en plus d'adeptes après sa publication.

La chaîne des fées n'est pas en soit une hiérarchie au sens strict. Tandis que Gheateus et Sygria seraient entourées de Sylphides mineures, les fées dans leur ensemble ne sont pas des suivantes ou des serviteurs. Leurs plans et objectifs ne proviennent pas d'instances supérieures mais de leur propre volonté.

Les plus grands experts en fée sont d'accord là-dessus. Car cela est basé sur des coïncidences évidentes et soutenu par de théories annexes, mais cela pourrait tout aussi bien être faux.