Le chant de Pélinal, volume 2 : Son avènement : Différence entre versions

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[Puis] Perrif s'adressa à nouveau à ses suivantes, les yeux levés au ciel qui n'avait plus connu la douceur depuis le début du règne [[elfe|elfique]]. Elle parla en mortelle dont la descendance est aimée des dieux pour sa force dans sa faiblesse, une humilité capable de brûler comme une métaphore et cependant se briser [facilement et] pour toujours, toujours condamnée à finir dans la mort (et voilà pourquoi ceux qui laissent leurs [[âme]]s se consumer sont aimés par le [[Dragon]] et ses semblables). Puis elle dit : "Cette chose à laquelle j'ai pensé, je l'ai nommée et je l'appelle liberté, ce n'est qu'un autre nom de Shezarr-Qui-Nous-Manque... [Tu] as créé la première pluie lorsqu'il fut détruit [et c'est] ce que je te demande à présent pour nos maîtres étrangers... [qu'ils] s'écroulent entièrement et expient leur cruauté [et qu'ils] soient jetés dans la [[baie de Topal]] afin de s'y noyer. Quand [[Morihaus]], ton fils, puissant et hautain, aux grandes ailes et aux cornes ensanglantées, descendra sur nous, qu'il nous apporte la colère." ... [Puis] [[Kyne]] offrit à Perrif un autre symbole, un [[Pierre précieuse|diamant]] trempé du rouge sang des Elfes [dont les] facettes pouvaient [se reformer] en homme dont chaque angle pouvait taillader ses geôliers et un nom : PELIN-EL [qui est] "L'étoile devenue chevalier" [et il] fut revêtu d'une armure [des temps futurs]. Et il marcha dans les forêts touffues de Cyrod déjà tuant, Morihaus avançant à ses côtés de sang froid et hurlant d'excitation parce que Pélinal était venu... [et Pélinal] parvint au camp des rebelles de Perrif, brandissant une épée et une massue ruisselantes de viscères elfiques, de plumes et de perles magiques, les marques mêmes d'[[Ayleidoon]] collées à l'écarlate de ses armes qu'il leva en disant : "Voici les restes des chefs de l'Est, leurs paroles sont désormais vaines."
 
 
[Puis] Perrif s'adressa à nouveau à ses suivantes, les yeux levés au ciel qui n'avait plus connu la douceur depuis le début du règne elfique. Elle parla en mortelle dont la descendance est aimée des dieux pour sa force dans sa faiblesse, une humilité capable de brûler comme une métaphore et cependant se briser [facilement et] pour toujours, toujours condamnée à finir dans la mort (et voilà pourquoi ceux qui laissent leurs âmes se consumer sont aimés par le Dragon et ses semblables). Puis elle dit : "Cette chose à laquelle j'ai pensé, je l'ai nommée et je l'appelle liberté, ce n'est qu'un autre nom de Shezarr-Qui-Nous-Manque... [Tu] as créé la première pluie lorsqu'il fut détruit [et c'est] ce que je te demande à présent pour nos maîtres étrangers... [qu'ils] s'écroulent entièrement et expient leur cruauté [et qu'ils] soient jetés dans la baie de Topal afin de s'y noyer. Quand Morihaus, ton fils, puissant et hautain, aux grandes ailes et aux cornes ensanglantées, descendra sur nous, qu'il nous apporte la colère." ... [Puis] Kyne offrit à Perrif un autre symbole, un diamant trempé du rouge sang des Elfes [dont les] facettes pouvaient [se reformer] en homme dont chaque angle pouvait taillader ses geôliers et un nom : PELIN-EL [qui est] "L'étoile devenue chevalier" [et il] fut revêtu d'une armure [des temps futurs]. Et il marcha dans les forêts touffues de Cyrod déjà tuant, Morihaus avançant à ses côtés de sang froid et hurlant d'excitation parce que Pélinal était venu... [et Pélinal] parvint au camp des rebelles de Perrif, brandissant une épée et une massue ruisselantes de viscères elfiques, de plumes et de perles magiques, les marques mêmes d'Ayleidoon collées à l'écarlate de ses armes qu'il leva en disant : "Voici les restes des chefs de l'Est, leurs paroles sont désormais vaines."
 
  
 
[[en:The Song of Pelinal, Vol. 2 : On his coming]]
 
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Version actuelle datée du 26 juin 2018 à 12:17

Média d'origine : TES 4 : Oblivion

Par Anonyme


[Puis] Perrif s'adressa à nouveau à ses suivantes, les yeux levés au ciel qui n'avait plus connu la douceur depuis le début du règne elfique. Elle parla en mortelle dont la descendance est aimée des dieux pour sa force dans sa faiblesse, une humilité capable de brûler comme une métaphore et cependant se briser [facilement et] pour toujours, toujours condamnée à finir dans la mort (et voilà pourquoi ceux qui laissent leurs âmes se consumer sont aimés par le Dragon et ses semblables). Puis elle dit : "Cette chose à laquelle j'ai pensé, je l'ai nommée et je l'appelle liberté, ce n'est qu'un autre nom de Shezarr-Qui-Nous-Manque... [Tu] as créé la première pluie lorsqu'il fut détruit [et c'est] ce que je te demande à présent pour nos maîtres étrangers... [qu'ils] s'écroulent entièrement et expient leur cruauté [et qu'ils] soient jetés dans la baie de Topal afin de s'y noyer. Quand Morihaus, ton fils, puissant et hautain, aux grandes ailes et aux cornes ensanglantées, descendra sur nous, qu'il nous apporte la colère." ... [Puis] Kyne offrit à Perrif un autre symbole, un diamant trempé du rouge sang des Elfes [dont les] facettes pouvaient [se reformer] en homme dont chaque angle pouvait taillader ses geôliers et un nom : PELIN-EL [qui est] "L'étoile devenue chevalier" [et il] fut revêtu d'une armure [des temps futurs]. Et il marcha dans les forêts touffues de Cyrod déjà tuant, Morihaus avançant à ses côtés de sang froid et hurlant d'excitation parce que Pélinal était venu... [et Pélinal] parvint au camp des rebelles de Perrif, brandissant une épée et une massue ruisselantes de viscères elfiques, de plumes et de perles magiques, les marques mêmes d'Ayleidoon collées à l'écarlate de ses armes qu'il leva en disant : "Voici les restes des chefs de l'Est, leurs paroles sont désormais vaines."