L'étrangeté des Peaux-Sèches : Différence entre versions

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Sans parler leurs nids de pierre, qu'il faut beaucoup de mains et beaucoup de pierres pour construire. Mais si le sol s'enfonce ? Si l'orage tempête ? Alors, ils sont ruinés, misérables. Je secoue la tête devant tant de sottise. C'est encore une manière dont les peaux-sèches désirent éviter le changement.
 
Sans parler leurs nids de pierre, qu'il faut beaucoup de mains et beaucoup de pierres pour construire. Mais si le sol s'enfonce ? Si l'orage tempête ? Alors, ils sont ruinés, misérables. Je secoue la tête devant tant de sottise. C'est encore une manière dont les peaux-sèches désirent éviter le changement.
  
Une dernière vérité à écrire. Il ne faut jamais tolérer ces étrangers. Ils ont montré leur nature immonde, encore et encore. Puissent les tribus du marais noir un jour ignorer ces peaux-sèches et les chasser ! Comme les Nagas l'ont toujours fait.
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Une dernière vérité à écrire. Il ne faut jamais tolérer ces étrangers. Ils ont montré leur nature immonde, encore et encore. Puissent les tribus du Marais Noir un jour ignorer ces peaux-sèches et les chasser ! Comme les Nagas l'ont toujours fait.
  
 
[[Catégorie : Livre : Journaux]]
 
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Version du 7 novembre 2018 à 07:40

Média d'origine : TES Online

Par le Kaal Dreenjee des Naga-Kur


Traduit par Tyrrya Len, la Vagabonde d'Haltevoie

J'écris la vérité dans ces paroles. Les peaux-sèches viennent à Tourbevase, leur présence est importune et indésirable. Ceux qui entrent dans les terres d'Aiguemortes perdront bientôt la vie. Ceci est connu dans tout Tourbevase.

Mais j'incline la tête. Parfois, nous nous rendons dans des tribus qui accueillent ces étrangers. Elles nous demandent de respecter leurs choix absurdes. Aussi devons-nous apprendre autre chose que tuer les peaux-sèches. Je crispe le poing. Pour ces moments, nous devons apprendre à faire la paix. J'écris des mots de vérité pour que les Nagas soient prêts.

Les peaux-sèches ont la chair faible, facile à couper, à marquer. Leur peau se cloque et se perce après avoir touché beaucoup de plantes du marais. Et leurs estomacs sont faibles. Le repas d'un jeune éclos suffirait à rendre malade un peau-sèche. Même sans l'aide d'une lance, de nombreux étrangers mourront grâce au marais. Je souris.

Mes yeux n'ont pas vu, mais mes oreilles ont entendu que les peaux-sèche donnent le jour à des petits vivants. Je frémis à cette idée. Ces nourrissons (le mot des peaux-sèches pour leurs éclos) sont complètement faibles et vulnérables. Ils ne savent même pas marcher. Mes yeux se plissent de confusion. Comment ces créatures parviennent-elles à l'âge adulte ?

Sans parler leurs nids de pierre, qu'il faut beaucoup de mains et beaucoup de pierres pour construire. Mais si le sol s'enfonce ? Si l'orage tempête ? Alors, ils sont ruinés, misérables. Je secoue la tête devant tant de sottise. C'est encore une manière dont les peaux-sèches désirent éviter le changement.

Une dernière vérité à écrire. Il ne faut jamais tolérer ces étrangers. Ils ont montré leur nature immonde, encore et encore. Puissent les tribus du Marais Noir un jour ignorer ces peaux-sèches et les chasser ! Comme les Nagas l'ont toujours fait.