Histoires pour enfants de Solitude : Différence entre versions

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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Alors qu'il patientait, il entendit un grognement puissant. Au travers de la tempête blanche, un tigre à dents de sabre neigeux approchait ! Il poussa un puissant rugissement et entra dans la caverne. Nylkas était terrifié. Il n'avait aucune arme capable de repousser un fauve aussi puissant. Il se prépara à l'attaque tandis que le félin rugissait et grondait. Puis, Nylkas remarqua que le tigre boîtait.
 
Alors qu'il patientait, il entendit un grognement puissant. Au travers de la tempête blanche, un tigre à dents de sabre neigeux approchait ! Il poussa un puissant rugissement et entra dans la caverne. Nylkas était terrifié. Il n'avait aucune arme capable de repousser un fauve aussi puissant. Il se prépara à l'attaque tandis que le félin rugissait et grondait. Puis, Nylkas remarqua que le tigre boîtait.
  
En y regardant de plus près, il remarqua une grosse épine dans la patte du tigre. Prenant son courage à deux mains, au lieu de détaler face à la bête, il approchait et retira l'épine. Le félin rugit de douleur, mais sentit le soulagement remplacer la douleur qui l'avait torturé.
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En y regardant de plus près, il remarqua une grosse épine dans la patte du tigre. Prenant son courage à deux mains, au lieu de détaler face à la bête, il approcha et retira l'épine. Le félin rugit de douleur, mais sentit le soulagement remplacer la douleur qui l'avait torturé.
  
 
Reconnaissant, le tigre lécha le visage et les mains de Nylkas et se blottit contre lui. Plus tard, puisque la tempête était encore trop violente pour que Nylkas sorte, le tigre lui rapportera une proie, pour qu'ils puissent manger au chaud dans la caverne.
 
Reconnaissant, le tigre lécha le visage et les mains de Nylkas et se blottit contre lui. Plus tard, puisque la tempête était encore trop violente pour que Nylkas sorte, le tigre lui rapportera une proie, pour qu'ils puissent manger au chaud dans la caverne.
  
Une fois l'intempérie passée, ils quittèrent la caverne. À compte de ce jour, et ils voyagèrent ensemble, et furent toujours amis.
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Une fois l'intempérie passée, ils quittèrent la caverne. À compte de ce jour ils voyagèrent ensemble, et furent toujours amis.
  
  

Version actuelle datée du 21 août 2020 à 08:54

Média d'origine : TES Online - Greymoor


Nylkas et le tigre à dents de sabre neigeux

Un jour, un jeune garçon appelé Nylkas sortit pêcher dans la glace. Il se rendit très loin de chez lui, et tandis qu'il marchait, une tempête de neige se leva autour de lui. Bientôt, il n'y vit plus goutte, et décida d'attendre la fin de la tempête dans une caverne voisine.

Alors qu'il patientait, il entendit un grognement puissant. Au travers de la tempête blanche, un tigre à dents de sabre neigeux approchait ! Il poussa un puissant rugissement et entra dans la caverne. Nylkas était terrifié. Il n'avait aucune arme capable de repousser un fauve aussi puissant. Il se prépara à l'attaque tandis que le félin rugissait et grondait. Puis, Nylkas remarqua que le tigre boîtait.

En y regardant de plus près, il remarqua une grosse épine dans la patte du tigre. Prenant son courage à deux mains, au lieu de détaler face à la bête, il approcha et retira l'épine. Le félin rugit de douleur, mais sentit le soulagement remplacer la douleur qui l'avait torturé.

Reconnaissant, le tigre lécha le visage et les mains de Nylkas et se blottit contre lui. Plus tard, puisque la tempête était encore trop violente pour que Nylkas sorte, le tigre lui rapportera une proie, pour qu'ils puissent manger au chaud dans la caverne.

Une fois l'intempérie passée, ils quittèrent la caverne. À compte de ce jour ils voyagèrent ensemble, et furent toujours amis.


Ne parlez jamais aux inconnus

Ne parlez jamais aux Crevassais, ils vous mangeront dans la nuit. Ne parlez jamais aux Orientaux, ils ne cherchent que les ennuis.

Ne saluez pas les Orques, ils sont toujours puants. Ne saluez pas les Rougegardes, ils vont toujours hurlant.

Ne parlez jamais aux Elfes, ils peuvent être très grossiers. Ne parlez pas aux Impériaux, ils n'ont que des injures dans le gosier.

N'apprivoisez pas Argoniens, ils sont froids et ils collent. N'apprivoisez pas les Khajiits, tout ce qui leur plaît, ils le volent.

Ne parlez jamais aux Brétons, ce sont des Elfes, en pire. Ne parlez jamais aux inconnus, les Nordiques sont un empire !


Les robes neuves du jarl

Il était une fois un jarl à la vanité colossale. Il aimait plus que tout ses beaux habits, et négligeait souvent ses responsabilités pour trouver et acheter de nouvelles tenues.

Un jour, deux criminels rusés se faisant passer pour des tailleurs arrivèrent dans la châtellerie. Ils expliquèrent au jarl qu'ils pourraient lui tailler des habits somptueux, dans les tissus et les coloris les plus époustouflants. En fait, leurs habits étaient si spectaculaires qu'ils en étaient invisibles pour les idiots et pour ceux qui n'étaient pas dignes de leur office.

Le Jarl insista pour que les tailleurs lui préparent une belle tenue, aussi vite que possible. Une tenue digne d'un jarl ! Il les paya généreusement, et les deux hommes se mirent au travail. En réalité, les tailleurs ne firent rien du tout ! Ils demandèrent des matériaux splendides, comme le fil d'argent ou la soie d'araignée, mais les gardèrent pour eux, et continuèrent de faire croire qu'ils travaillaient. Ils demandèrent des petits pains, et dormirent dans les lits confortables de la longère du jarl, tout en feignant de travailler d'arrache-pied.

Le jarl finit par s'enquérir de sa tenue. Il envoya sa huscarl se renseigner. Lorsqu'elle arriva, les tailleurs travaillaient devant une table vide ! Elle se demanda comment cela se pouvait. Les tailleurs lui demandèrent si les vêtements lui plaisaient, et si elle trouvait les coloris flatteurs. La huscarl se souvint que seuls les idiots et ceux qui n'étaient pas dignes de leur office ne pouvaient pas voir les habits. Elle ne se considérait comme rien de tout cela, aussi mentit-elle, et assura-t-elle aux tailleurs qu'elle n'avait jamais rien vu d'aussi beau. Elle assura au jarl que les habits étaient somptueux. Le jarl envoya ensuite son sorcier et son intendant prendre des nouvelles, et aucun de ces deux hommes ne vit rien non plus, mais tous deux firent semblant. Ils assurèrent au jarl que les habits étaient somptueux.

Bientôt, les tailleurs annoncèrent que leur travail était terminé. Le jarl alla voir par lui-même. En arrivant, il eut la désagréable surprise de ne rien voir du tout ! Les tailleurs lui montrèrent la table vide, et lui demandèrent s'il était satisfait du résultat. La coupe était-elle à son goût ? Les couleurs, plaisantes à ses yeux ? Le jarl, craignant d'admettre la vérité, dit aux tailleurs qu'il adorait leurs habits et comptait les porter de suite.

Il se déshabilla, et laissa les tailleurs mimer un habillage. Ils étaient méticuleux, et boutonnèrent la robe imaginaire jusqu'au cou avant de finir. Puis il appela sa suite pour admirer sa nouvelle garde-robe. Chacun fut surpris de voir le jarl nu comme un horqueur, mais tous avaient trop honte pour le reconnaître. Ils préfèrent s'extasier et le complimenter sur son élégance.

Les tailleurs encouragèrent ensuite le jarl à défiler dans la châtellerie pour se faire admirer par le peuple. Aussitôt dit, aussitôt fait. Il arpenta fièrement les rues sous les yeux de ses sujets. Tous le virent nu, mais craignaient de l'admettre et de passer pour des idiots.

Il fallut qu'un enfant sorte de la foule et crie sans peur « Le jarl est nu ! » pour que la foule cesse sa mascarade. Ils se mirent à rire en montrant du doigt. Mortifié, le jarl rentra ventre à terre dans sa longère… mais les deux tailleurs avaient déjà pris la poudre d'escampette !

Alors je jarl châtia à leur place son huscarl, son mage de cour et son intendant, pour ne l'avoir pas empêché de se ridiculiser. Il leur coupa la tête lui-même, avec une hache tout à fait réelle et matérielle.