De l'infect cycle de vie du dreugh terrestre : Différence entre versions

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Contrairement à ce que prétendent les légendes locales sur la création de cette espèce, les dreughs migrent depuis la mer Abécéène jusqu'aux lacs et aux criques se jetant dans la baie iliaque. En plus de leurs nombreuses excroissances en forme de pinces et de leurs pattes véloces, articulées autour d'un torse de taille humaine, les dreughs sont couverts d'une peau très résistante et produisent une cire, très prisée dans certaines régions. Ce sont des prédateurs aquatiques, passant le plus clair de leur temps au fond des abysses. Il n'est pas rare qu'ils éventrent les filets des pêcheurs locaux pour en voler le contenu, mais les dreughs sont généralement pacifiques, excepté durant le « karvinasim », leur période de mue.
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Contrairement à ce que prétendent les légendes locales sur la création de cette espèce, les dreughs migrent depuis la mer Abécéene jusqu'aux lacs et aux criques se jetant dans la baie iliaque. En plus de leurs nombreuses excroissances en forme de pinces et de leurs pattes véloces, articulées autour d'un torse de taille humaine, les dreughs sont couverts d'une peau très résistante et produisent une cire, très prisée dans certaines régions. Ce sont des prédateurs aquatiques, passant le plus clair de leur temps au fond des abysses. Il n'est pas rare qu'ils éventrent les filets des pêcheurs locaux pour en voler le contenu, mais les dreughs sont généralement pacifiques, excepté durant le « karvinasim », leur période de mue.
  
 
Durant cette saison, les dreughs gagnent les abords des marais et des rivières, veillant ainsi à rester proches d'un point d'eau. Leur progéniture est jalousement gardée et les mères sont extrêmement territoriales, réagissant violemment à toute tentative d'intrusion. En effet, la saison du karvinasim exacerbe l'instinct guerrier des dreughs, n'en déplaise à notre unité de recherches qui, après avoir assisté à l'éviscération de notre géographe en chef, Pulcherius Pomptinus, a réfléchi à deux fois avant de capturer de nouveaux spécimens.
 
Durant cette saison, les dreughs gagnent les abords des marais et des rivières, veillant ainsi à rester proches d'un point d'eau. Leur progéniture est jalousement gardée et les mères sont extrêmement territoriales, réagissant violemment à toute tentative d'intrusion. En effet, la saison du karvinasim exacerbe l'instinct guerrier des dreughs, n'en déplaise à notre unité de recherches qui, après avoir assisté à l'éviscération de notre géographe en chef, Pulcherius Pomptinus, a réfléchi à deux fois avant de capturer de nouveaux spécimens.

Version actuelle datée du 8 novembre 2018 à 10:19

Média d'origine : TES Online

(version abrégée)
Par Fronto Maecilius


Contrairement à ce que prétendent les légendes locales sur la création de cette espèce, les dreughs migrent depuis la mer Abécéene jusqu'aux lacs et aux criques se jetant dans la baie iliaque. En plus de leurs nombreuses excroissances en forme de pinces et de leurs pattes véloces, articulées autour d'un torse de taille humaine, les dreughs sont couverts d'une peau très résistante et produisent une cire, très prisée dans certaines régions. Ce sont des prédateurs aquatiques, passant le plus clair de leur temps au fond des abysses. Il n'est pas rare qu'ils éventrent les filets des pêcheurs locaux pour en voler le contenu, mais les dreughs sont généralement pacifiques, excepté durant le « karvinasim », leur période de mue.

Durant cette saison, les dreughs gagnent les abords des marais et des rivières, veillant ainsi à rester proches d'un point d'eau. Leur progéniture est jalousement gardée et les mères sont extrêmement territoriales, réagissant violemment à toute tentative d'intrusion. En effet, la saison du karvinasim exacerbe l'instinct guerrier des dreughs, n'en déplaise à notre unité de recherches qui, après avoir assisté à l'éviscération de notre géographe en chef, Pulcherius Pomptinus, a réfléchi à deux fois avant de capturer de nouveaux spécimens.

Après une année passée sur la terre ferme, les dreughs regagnent la mer. C'est alors que s'opère une nouvelle métamorphose, appelée « meffe », au cours de laquelle ils ingurgitent leur peau terrestre ainsi que leurs organes respiratoires dont ils n'auront plus l'utilité pour les régurgiter sous forme de petites pelotes de fibres congelées, d'une trentaine de centimètres de diamètre. Ces régurgitations à l'odeur nauséabonde – que l'on peut trouver aux abords des colonies nidifiant près des lacs – portent le nom de « grom ». Pour l'heure, nos apothicaires ne leur ont encore découvert aucune propriété particulière, si ce n'est une propension à causer des nausées chez les estomacs les plus sensibles de notre équipe.