La folie des hommes

Média d'origine : TES Online Écoutez bien l'avertissement qui est mien, Sur une herbe invasive. N'ayez pas peur si je dis, que cette mélodie, N'est pas une leçon oisive. Notre histoire c'est sûr, telle la moisissure, est Faite pour la pourriture. Cette triste maladie, cette funeste ironie, Suivait une défaite sure. Le Fracas, dont on fait si grand cas, L'effondrement de notre firmament. Cette averse de boue, qui fut bientôt debout, Fit notre atterrement. C'était dès le départ, je le dis sans égards, Un défilé de porcins. Les Hommes prirent racine, cette triste toxine, Tel un champignon au corps sain. Ils sont éphémères, leurs rêves sont sommaires, Mais surveillez leurs expéditions. Il est doux de railler, leurs efforts déployés, Du moins jusqu'à voir leurs déprédations. Lorsque l'Homme s'élance, dans sa funeste danse, L'on comprend ce que Lorkhan a fait. Trinimac ignorait qu'il était pris dans ses rets, Et par son coup, perdant tout à fait.