Litanie du Sang : Différence entre versions

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Malheur à eux, Mère de la nuit, ceux nés d’Anu.
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Par-delà la prison de la mort, j’offre à ceux qui croisent mon regard impie la froide caresse de votre lame.
 
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Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.
 
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De Gardeciel, j’offre celle qui réfléchit les cieux dans son regard et son habit, errant d’une danse à l’autre.
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De Faneracine, j’offre celui qui est aussi âgé et noueux que les arbres, le dos incliné mais non courbé.
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Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.
 
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De Marbruk, j’offre celle qui veille sur le marché sous un voile aubrun, et qui garde de l’argent près de son cœur.
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De [[Marbruk]], j’offre celle qui veille sur le marché sous un voile aubrun, et qui garde de l’argent près de son cœur.
  
 
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De Gastefoule, j’offre celle qui balaye les saisons de sa queue et d’un faisceau de paille.
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De Rawl’kha, J’offre celui qui vêt ses bandes brunes de bandes d’or.
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De [[Rawl'kha]], J’offre celui qui vêt ses bandes brunes de bandes d’or.
  
 
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Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.
 
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Du Guet de Davon, j’offre celui qui est argent, cendre et feu drapé d’un filigrane de cuivre.
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De Longsanglot, j’offre celle qui marche sous un blason rouge et manie l’acier tortueux.
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De [[Longsanglot]], j’offre celle qui marche sous un blason rouge et manie l’acier tortueux.
  
 
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De Fort-Tempête, j’offre celle qui est couverte de boue mais porte un halo d’os, brillant et exempt de souillure.
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De [[Fort-tempête|Fort-Tempête]], j’offre celle qui est couverte de boue mais porte un halo d’os, brillant et exempt de souillure.
  
 
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De Vendeaume, j’offre celle qui s’est ceinte du temps, mais dont l’âge n’a pas volé sa couronne d’or.
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De [[Vendeaume]], j’offre celle qui s’est ceinte du temps, mais dont l’âge n’a pas volé sa couronne d’or.
  
 
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De Faillaise, j’offre celui dont les bras sont entrelacés et maculés de l’encre et des herbes de la mer.
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De [[Faillaise]], j’offre celui dont les bras sont entrelacés et maculés de l’encre et des herbes de la mer.
  
 
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De Daguefilante, j’offre celui dont l’habit est aussi léger que sa conduite, et dont le chef est aussi stérile que son cœur.
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De Haltevoie, j’offre celle qui épie depuis un rideau écarlate et dont le visage balafré dissimule la vrai nature.
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De [[Haltevoie]], j’offre celle qui épie depuis un rideau écarlate et dont le visage balafré dissimule la vrai nature.
  
 
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De Taillemont, j’offre celle qui tient la mort pour sa sœur, affichant un sourire éternel et dépourvu de joie.
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De [[Taillemont]], j’offre celle qui tient la mort pour sa sœur, affichant un sourire éternel et dépourvu de joie.
  
 
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De Sentinelle, j’offre celui qui laisse une piste de cordes noires et propres suspendues au-dessus d’une cage dorée.
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De [[Sentinelle]], j’offre celui qui laisse une piste de cordes noires et propres suspendues au-dessus d’une cage dorée.
  
 
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D’Abondance, j’offre celle qui porte fièrement les cicatrices qui zèbrent son cœur.
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D’[[Abondance]], j’offre celle qui porte fièrement les cicatrices qui zèbrent son cœur.
  
 
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Version actuelle datée du 24 septembre 2017 à 16:58

Média d'origine : TES Online
Par Anonyme

Malheur à eux, Mère de la nuit, ceux nés d’Anu.

Par-delà la prison de la mort, j’offre à ceux qui croisent mon regard impie la froide caresse de votre lame.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

* * *

Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

De Gardeciel, j’offre celle qui réfléchit les cieux dans son regard et son habit, errant d’une danse à l’autre.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

* * *

Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

De Faneracine, j’offre celui qui est aussi âgé et noueux que les arbres, le dos incliné mais non courbé.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

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Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

De Marbruk, j’offre celle qui veille sur le marché sous un voile aubrun, et qui garde de l’argent près de son cœur.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

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Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

De Gastefoule, j’offre celle qui balaye les saisons de sa queue et d’un faisceau de paille.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

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Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

De Rawl'kha, J’offre celui qui vêt ses bandes brunes de bandes d’or.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

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Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

Du Guet de Davon, j’offre celui qui est argent, cendre et feu drapé d’un filigrane de cuivre.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

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Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

De Longsanglot, j’offre celle qui marche sous un blason rouge et manie l’acier tortueux.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

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Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

De Fort-Tempête, j’offre celle qui est couverte de boue mais porte un halo d’os, brillant et exempt de souillure.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

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Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

De Vendeaume, j’offre celle qui s’est ceinte du temps, mais dont l’âge n’a pas volé sa couronne d’or.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

* * *

Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

De Faillaise, j’offre celui dont les bras sont entrelacés et maculés de l’encre et des herbes de la mer.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

* * *

Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

De Daguefilante, j’offre celui dont l’habit est aussi léger que sa conduite, et dont le chef est aussi stérile que son cœur.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

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Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

De Haltevoie, j’offre celle qui épie depuis un rideau écarlate et dont le visage balafré dissimule la vrai nature.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

* * *

Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

De Taillemont, j’offre celle qui tient la mort pour sa sœur, affichant un sourire éternel et dépourvu de joie.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

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Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

De Sentinelle, j’offre celui qui laisse une piste de cordes noires et propres suspendues au-dessus d’une cage dorée.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

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Ce sont vos proies, Père de la terreur, ceux nés d’Anu.

D’Abondance, j’offre celle qui porte fièrement les cicatrices qui zèbrent son cœur.

Vous les reconnaîtrez à leur œil.

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